samedi 28 mai 2011

Dédicaces en pointillé ce week-end [ici]

Contrairement à ce que j'avais annoncé ces derniers jours, je ne suis pas en mesure d'assurer toutes les dédicaces de ce week-end. Hier après-midi, au Marché de la Poésie, j'ai sans doute été longuement exposée aux pollens, au tabagisme passif et peut-être bien aussi au froid et au vent (que l'on ressent bien lorsqu'on se tient immobile sur un stand). Les effets de cette exposition d'hier m'ont empêché aujourd'hui de participer aux deux salons, Marché de la Poésie et Salon des Editeurs Indépendants du Quartier Latin, qui se tiennent respectivement dans les 6ème et 5ème arrondissements de Paris. J'ai voulu ne pas compromettre ma condition physique afin d'assurer la conférence de mardi soir, 31 mai 2011, à L'Entrepôt, à Paris. Mais que je sois présente ou absente sur un stand, mes livres s'y trouvent et vous pouvez vous les y procurer dans un cas comme dans l'autre.

Pour les lecteurs de ce blog qui se seraient rendus au Marché de la Poésie ou au Salon des Editeurs indépendants spécialement pour obtenir une dédicace sur l'un de mes livres, je les prie de bien vouloir excuser une absence que j'aurais aimé moi-même éviter.

Demain dimanche, c'est la fête des Mères. J'éviterai de retourner au Marché de la Poésie, dont la tenue a été cette année malencontreusement avancée d'un mois (d'où peut-être les problèmes de pollen) mais j'ai tout lieu de penser que je serai en mesure d'assurer la dédicace au Salon des Editeurs indépendants du Quartier Latin au Lycée Henri IV, comme je viens d'en avertir la responsable du stand des Editions du Jasmin. Dans l'enceinte d'un lycée, même en plein air, il est interdit de fumer. Ce sera toujours un stress physiologique dont je n'aurai pas à subir les effets dévastateurs.

Comme j'ai suffisamment récupéré pour travailler en fin de journée, je vous livre ce soir, samedi 28 mai 2011, une interview fort intéressante publiée ce matin même dans les pages culturelles de Página/12 et où la chanteuse Susana Rinaldi et la compositeur et bandonéoniste Leopoldo Federico prennent position sur la politique culturelle publique dans une Argentine en pleine campagne électorale.