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| "Plus personne ne coupe le tissu", dit le gros titre Comprenez "Il n'y a plus de pain sur la planche" Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Le gouvernement de Javier Mileí, sous prétexte de liberté d’entreprendre et au nom du principe « que le meilleur gagne », a ouvert tout grand les frontières de l’Argentine pour laisser entrer toutes sortes de produits industriels, dont beaucoup viennent, directement ou indirectement de Chine.
Le résultat ne se fait pas attendre : l’industrie argentine s’effondre puisqu’elle produit à des coûts plus élevés, dus à la protection, désormais toute relative, des travailleurs. Bref, le schéma que l’Europe a connu et pratiqué, ce dont tous nos pays se mordent les doigts vingt à trente ans plus tard, s’applique maintenant à l’Argentine et tout disparaît au fur et à mesure.
Après le secteur laitier, c’est aujourd’hui le sort de l’industrie textile qui attire le regard de la presse.
Pour aller plus loin :
lire l’article de Clarín
