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Le gros titre est consacré à la marche arrière de Trump mais la photo est tout de même pour le disparu Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
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Affiche d'une des rencontres publiques en novembre dernier pour la présentation du livre Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Luis
Felipe Noé était un artiste plastique essentiellement abstrait dont
la palette chatoyante a fait la célébrité. Une explosion
permanente de couleurs vives ! Il avait fait l’objet d’une
exposition au sein du temple de la discipline : le Museo
Nacional de las Bellas Artes, situé à Recoleta, dans le nord de
Buenos Aires.
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Une autre rencontre, un peu plus tard en novembre Cliquez sur l'image pour une plus haute résolution |
Son
décès intervient alors que le pays se trouve plongé dans une grève
générale qui semble connaître un beau succès. Página/12, dont
les journalistes se joignent au mouvement de protestation, lui
consacre un article en ligne mais ni Une ni sortie du supplément
culturel quotidien qui lui aurait dans d’autres circonstances rendu
hommage.
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Même choix qu'à Clarín : un gros titre pour Trump et une photo pour Noé en l'occurrence dans son atelier de la rue Tacuarí Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Luis Felipe Noé avait publié un livre en novembre dernier et il en avait assuré lui-même la promotion à travers plusieurs rencontres publiques. Son titre : Asumir el caos (assumer le chaos). Le chaos des couleurs est sans doute un des traits les plus caractéristiques de son œuvre.
Jusqu’à son AVC, il vivait et travaillait chez lui dans un coin très simple du quartier de San Telmo, dans le sud de Buenos Aires, où vit la classe moyenne.
Pour
aller plus loin :
lire
l’article
de Página/12
lire
l’article
de Clarín
lire
l’article
de La Nación
visiter
le site
Internet de l’artiste