Un des pages culturelles de Pagina/12 ce matin |
Pendant cette tournée que j'effectue dans le Gran Guyo, le temps me manque pour lui rendre hommage comme il conviendrait à son immense talent de pianiste, de compositeur, d'arrangeur et de chef d'orchestre ! Le Maestro Horacio Salgan, dont nous avions salué le centenaire il y a quelques mois, vient de s'éteindre à Buenos Aires.
Les mots manquent pour saluer cette figure historique du tango, l'un des tout premiers créateurs à s'être affranchis des contraintes du bal pour élever le genre à une musique de très libre création, quelque temps avant que Piazzolla choisisse le même chemin.
On doit à Salgan des chefs d'oeuvre courts comme l'immortel A fuego lento (à petit feu) et les premières longues pièces, comme Oratorio Carlos Gardel, composé sur un livret de Horacio Ferrer, dont le souvenir continue à briller, lui aussi, au firmament tanguero.
Et pour une fois, c'est La Prensa qui fait le plus de place à l'événement dans sa une de ce matin.
Et pour une fois, c'est La Prensa qui fait le plus de place à l'événement dans sa une de ce matin.
Pour aller plus loin :
lire l'article principal de Pagina/12 (qui consacre au musicien une bonne partie de son supplément culturel de ce jour)
lire également (tant qu'il reste en ligne) l'article de Los Andes de ce matin (groupe Clarin, mais à Mendoza, où je me trouve actuellement et je n'ai même pas eu ce matin le temps de jeter un coup d'oeil sur la devanture des kiosques à journaux).
lire également (tant qu'il reste en ligne) l'article de Los Andes de ce matin (groupe Clarin, mais à Mendoza, où je me trouve actuellement et je n'ai même pas eu ce matin le temps de jeter un coup d'oeil sur la devanture des kiosques à journaux).