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C'est joli, mais le macaron bleu me fait un peu peur ! Le pâtissier a forcé sur le colorant chimique, non ? |
C’est un rendez-vous désormais traditionnel que les institutions françaises donnent tous les ans au public argentin à Buenos Aires : une fête de la gastronomie française, cette année dans la Roseraie (el Rosedal) de Palermo, un espace vert qui remonte au 19e siècle, installé sur un ancien et immense domaine particulier d’un important personnage historique, maudit par la droite libérale mais resté cher à la mémoire de la gauche, Juan Manuel de Rosas (1793-1877). L'endroit est somptueux même si la saison n’est plus celle des roses dans l’hémisphère sud.
Vont
se retrouver pendant ce week-end, samedi et dimanche, la vingtaine
d’enseignes de spécialités françaises membres de l’association
Lucullus, laquelle propose cette manifestation soutenue par
l’ambassade et par l’Alliance Française, l’organisation qui
assure partout dans le monde le rayonnement culturel de la France à
travers des cours de langue, des bibliothèques et des programmes
divers et variés (cinéma, théâtre, conférences, rencontres avec
des écrivains et des artistes, expositions…), dont j'ai moi-même bénéficié pour présenter plusieurs de mes livres.
En tout, l’événement
rassemblera une trentaine d’exposants.
De grands noms de la cuisine et de la pâtisserie seront les uns présents, les autres représentés par leurs recettes, dans des ateliers où l’on apprendra à faire un pot-au-feu, du vin chaud, des croissants aux amandes, des choux à la crème ou une tarte tatin, à déguster un macaron, un vin ou un fromage...
L’entrée à la Feria est libre et gratuite. Pour consommer, il faudra sortir le porte-monnaie.
Pour
aller plus loin :
lire
l’article
de El
Planeta Urbano, magazine de Buenos Aires
lié à Página/12
lire
l’article
de La
Prensa
lire
l’article
de La
Nación
visiter
le
site Internet de Lucullus