Je
suis rentrée trop tard de Buenos Aires et avec trop d'inquiétudes et de chagrin sur le cœur pour m'occuper de prendre une place à ces deux
spectacles, rassemblés sous le titre de Buenos Arias, que l'auteur et metteur en scène argentin Alfredo
Arias propose depuis le 7 septembre 2012 au public parisien, comme deux
nouvelles déclinaisons autour de la ville de Buenos Aires, de
sa culture, de sa vie [et de ses rêves] artistique[s], avec les deux
actrices-chanteuses-danseuses qui avaient tant emballé les
Français il y a deux ans, Sandra Guida et Alejandra Radano. A
leur côté, il dirige aussi Antonio Interlandi et tient
lui-même l'indispensable rôle du quatrième
mousquetaire, dans une structure qu'il répète souvent
d'un spectacle évocation à un autre.
Le
spectacle se donne jusqu'au 30 septembre 2012, au théâtre
Le Petit Montparnasse, 31 rue de la Gaité, dans le 14ème
arrondissement.
19h15
: Hermanas, une évocation des grands duos de chanteuses-jumelles (vraies ou fausses) de l'histoire du music-hall, 26 € en tarif plein
21h
: Cinelandia, un hommage au cinéma argentin, très mal
connu en Europe mais qui connut un âge d'or dans les années
40 et retrouve actuellement une belle et grande forme, 32 € en
tarif plein
L'ensemble
de la soirée est au prix de 46 € (au tarif plein).
N'ayant
pas vu ce spectacle, je n'en ferai pas de compte-rendu comme j'avais
pu le faire pour le triptyque donné au Théâtre du
Rond-Point (cliquez sur le nom d'Alfredo Arias dans le bloc Pour
chercher, para buscar, to search, ci-dessus pour accéder à
mes articles sur cette production antérieure), mais j'ai
d'ores et déjà eu de très bons échos de
la part de personnes en qui j'ai toute confiance. Ce qui n'est pas
pour me surprendre... Donc s'il reste encore des places, c'est
l'heure de vous décider. De mon côté, je retourne
me plonger dans les projets de la rentrée. Le premier d'entre
eux vous sera sans doute présenté dans ce blog dès
lundi ou mardi au plus tard.
Pour
aller plus loin :
voir
la bande-annonce vidéo des spectacles
consulter
le site du théâtre
consulter
le site Internet d'Alfredo Arias