vendredi 4 novembre 2016

Suite de l'affaire Juan Viroche [Actu]


Un mois après la mort du prêtre diocésain de Tucumán, la commission nationale Justice et Paix de la Conférence épiscopale argentine s'est exprimée pour dénoncer l'entrisme du trafic de drogue dans un bon nombre de corps constitué du pays. Les évêques rappellent le combat du prêtre défunt contre les responsables de ce trafic. Ils appellent de leurs vœux les conclusions de l'instruction judiciaire qui enquête sur deux pistes, le suicide ou l'assassinat.

A un mois de l'événement, ce communiqué montre qu'on est loin d'avoir trouvé des preuves évidentes sur la double vie du disparu, ce qui était apparu dès les premières heures de la tragédie. Dans le cas contraire, l'Eglise n'aurait pas choisi cette date pour s'exprimer. C'était d'ailleurs assez troublant de voir apparaître trois maîtresses en seulement 48 heures après la découverte du corps pendu dans la salle de répétition de la chorale paroissiale. En général, l'existence d'une double vie met du temps à se révéler puisque tous les acteurs se sont efforcés de la cacher jusqu'à ce moment-là...

Pour aller plus loin :
lire l'article de La Prensa, qui se contente de reprendre l'intégralité du communiqué
lire l'article de Radio Vatican en français et en espagnol (pour une fois, c'est exactement le même).