Belle
actualité à la Academia Nacional del Tango avec tout d'abord une
exposition d'un peintre tanguero, Víctor G. Fernández, qui dirige
aussi le musée municipal des Beaux-Arts de La Boca Quinquela Martín.
Le vernissage a eu lieu jeudi dernier (1).
Avec
aussi ce soir, lors du premier plenario de mai, un hommage méritée
à la tangologue Nélida Rouchetto, qui dirige la Casa del Tango, la
maison du tango fondée par Osvaldo Pugliese pour offrir un foyer, un
studio de répétition, un lieu de rencontre aux professionnels de la
profession, avant la fondation de la Academia, la première
institution qui donnait pignon sur rue au genre.
Enfin
avec un hommage à María de Buenos Aires, l'opéra-tango de Astor
Piazzolla et Horacio Ferrer, dont on fêtera les cinquante ans de la
création sur scène demain, 8 mai.
Ce
soir, entrée libre et gratuite dans la limite des places
disponibles, au siège de l'institution, Avenida de Mayo 833, premier
étage.
Ajout du 8 mai 2018 :
lire cet article de Gabriel Plaza, l'un des meilleurs critiques musicaux de La Nación, à l'occasion des 50 ans de María de Buenos Aires
Ajout du 8 mai 2018 :
lire cet article de Gabriel Plaza, l'un des meilleurs critiques musicaux de La Nación, à l'occasion des 50 ans de María de Buenos Aires
(1)
Je n'ai pas eu le temps de vous en rendre compte à cause de la crise
dont le Souvenir Napoléonien vient de sortir par le haut, avec
l'arrivée d'un nouveau président, Christian Bourdeille, que je soutenais parce qu'il propose de lancer et de réaliser un grand programme pour les anniversaires à chiffres ronds qui vont
se succéder dans les années qui viennent : fin du Second Empire,
mort de l'Impératrice Eugénie, mort de Napoléon à Sainte-Hélène,
etc. Le dépouillement des élections, qui aurait dû s'achever en
début d'après-midi, a duré jusqu'à pas d'heure et j'ai quitté
les lieux sans connaître les résultats, ce qui est un comble pour
une scrutatrice et un symptôme de la crise de l'anarchie et de la
gabegie qui minaient l'association jusqu'à vendredi soir !