lundi 7 mai 2018

Ce soir, Nélida Rouchetto à l'honneur à la Academia Nacional del Tango [à l'affiche]


Belle actualité à la Academia Nacional del Tango avec tout d'abord une exposition d'un peintre tanguero, Víctor G. Fernández, qui dirige aussi le musée municipal des Beaux-Arts de La Boca Quinquela Martín. Le vernissage a eu lieu jeudi dernier (1).

Avec aussi ce soir, lors du premier plenario de mai, un hommage méritée à la tangologue Nélida Rouchetto, qui dirige la Casa del Tango, la maison du tango fondée par Osvaldo Pugliese pour offrir un foyer, un studio de répétition, un lieu de rencontre aux professionnels de la profession, avant la fondation de la Academia, la première institution qui donnait pignon sur rue au genre.

Enfin avec un hommage à María de Buenos Aires, l'opéra-tango de Astor Piazzolla et Horacio Ferrer, dont on fêtera les cinquante ans de la création sur scène demain, 8 mai.


Ce soir, entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles, au siège de l'institution, Avenida de Mayo 833, premier étage.

Ajout du 8 mai 2018 :
lire cet article de Gabriel Plaza, l'un des meilleurs critiques musicaux de La Nación, à l'occasion des 50 ans de María de Buenos Aires



(1) Je n'ai pas eu le temps de vous en rendre compte à cause de la crise dont le Souvenir Napoléonien vient de sortir par le haut, avec l'arrivée d'un nouveau président, Christian Bourdeille, que je soutenais parce qu'il propose de lancer et de réaliser un grand programme pour les anniversaires à chiffres ronds qui vont se succéder dans les années qui viennent : fin du Second Empire, mort de l'Impératrice Eugénie, mort de Napoléon à Sainte-Hélène, etc. Le dépouillement des élections, qui aurait dû s'achever en début d'après-midi, a duré jusqu'à pas d'heure et j'ai quitté les lieux sans connaître les résultats, ce qui est un comble pour une scrutatrice et un symptôme de la crise de l'anarchie et de la gabegie qui minaient l'association jusqu'à vendredi soir !