Depuis le mois de décembre dernier, le Palacio Carlos Gardel était un chantier de restauration du très bel immeuble bourgeois typiquement alvearien qui abrite la Academia Nacional del Tango. Au bout de ce long temps, l'institution, que j'ai l'honneur de représenter en France, reprend (1) ses activités.
Demain, jeudi 2 août 2012, à 19h30, le poète Raimundo Rosales présentera son livre de chansons et de poèmes, préfacé par Horacio Ferrer, à qui il avait dédié un poème, Las manos de Horacio, que j'ai traduit dans Deux cents ans après, le Bicentenaire de l'Argentine à travers le patrimoine littéraire du tango (2).
Entrée libre et gratuite comme avant.
Plein de bonnes choses aux salariés qui reprennent en ce moment le chemin de l'Avenida de Mayo et que j'aurai joie à saluer d'ici peu.
(1) Je suis donc dans le bon tempo puisque je renoue moi aussi peu à peu avec l'alimentation de ce blog, après un long temps occupée à des travaux... d'écriture. Et pour moi, ce n'est pas tout à fait fini. Il reste des beaux d'échafaudage par ci par là !
(2) Tarabuste Editions, janvier 2011, numéro spécial 2010 de la revue Triages. Se trouve auprès de l'éditeur et en commande chez les bons libraires qui n'ont pas peur de défendre la culture et de sortir des sentiers battus.