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Il n’était pas heureux à
Paris et cela s’est vu comme le nez au milieu de la figure dès ses
premiers pas sur le sol hexagonal.
Messi part donc au bout de
deux ans pour un très
gros tas de pognon dans l’une des villes les plus réactionnaires
et les plus bling-bling d’un des États
les plus trumpistes des États-Unis.
Miami en Floride où il va rejoindre Beckham qui y exerce les
fonctions de directeur technique du club Inter. Au programme :
soleil et cyclones, voire plus si réchauffement climatique.
En toute fin de carrière, à 35
ans, Messi va briller de ses derniers feux dans un pays où le niveau
technique du foot masculin n’est pas très élevé puisque la
tradition n’y existe que pour les filles. Il gardera son numéro
fétiche, le 10, sur son nouveau maillot. C’est sans
doute l’essentiel.
En bas avec pour titre en blanc : "Super-bombe !" En haut, la même question d'unité à gauche Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Ce matin, la
presse argentine paraissait
sous le choc. En
Argentine, on s’attendait généralement à un retour, certes
difficile mais effectif, à Barcelone mais le Barça n’aurait pas
proposé assez. Messi dit qu’il n’a pas reçu de proposition. Le
club voit rouge et déclare que c’est faux. Clarín
avait flairé une entourloupe depuis quelque temps et hier soir, le
journal avait annoncé la probabilité de la destination définitive
du champion.
"Choc dans le football : Messi a choisi Miami", dit le gros titre Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Messi figurait
donc ce matin sur toutes
les unes même si Página/12,
encore lui, restait plus
discret que les autres quotidiens en la matière.
"Messi part à Miami et provoque déjà un effet dans le monde des affaires et des ventes de billets", dit le titre sous la photo Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Allez ! Bon vent et sans
rancune.
"Une puce à Miami", le titre secondaire reprend le surnom que les Argentins adorent donner à Messi Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Pour aller plus loin :
lire l’article principal de La Nación