Hier, la plupart des transports en commun était à l’arrêt partout dans le pays et la majorité des commerce et des entreprises est resté fermée. La presse de droite fait des pieds et des mains pour éviter de le reconnaître.
Pour Mileí et son gouvernement,
c’est business as
usual. Comme si de
rien n’était, sauf pour Patricia Bullrich qui s’efforce de
menacer le plus de monde possible de rétorsions en tout genre.
Quant à la sœur du président,
Karina Mileí, qui n’est pas élue, elle est en train de prendre le
pouvoir. C’est elle qui a présidé la dernière réunion du
gouvernement alors qu’elle est secrétaire-générale de la
Présidence, ce qui est déjà une entorse aux bonnes mœurs
démocratiques puisqu’il existait avant la prise de fonction de
Mileí un décret interdisant aux élus de nommer les membres de leur
famille à ces postes de l’appareil gouvernemental. Pourtant, le
gouvernement vient d’échouer à faire voter par le Sénat sa loi
dite de Bases, la nouvelle tentative de tout casser dans le pays.
Les photos ne laissent aucun doute quant à la paralysie du pays. Les reportages des journalistes étrangers sont sur la même ligne.
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Pour aller plus loin :
lire l’article de La Nación (l’article de une n’est pas disponible en ligne).