La une de Cultura y Espectaculos du 20 août 2010
(ajout du 9 septembre 2010)
Comme la grande majorité des activités programmées par le festival cette année, le concert de vendredi soir (hier soir pour moi à l'heure où je publie ces lignes) a été liée à la sortie d'un disque. Celui que le chanteur Horacio Molina vient de consacrer au répertoire de Carlos Gardel et Alfredo Le Pera (comme je vous l'ai raconté dans un article précédent).
A cette occasion, il est interviewé par Pagina/12, à la une des pages culturelles de vendredi et je vous invite à aller lire l'article en VO.
Ne disposant pas de mes moyens habituels, je ne peux vous offrir l'habituelle version bilingue ni multiplier les raccourcis internes. Je vous invite donc à faire bon usage des moyens du bord : le traducteur automatique Reverso (rubrique Cambalache casi ordenado, en bas de la Colonne de droite), et pour lire mon article sur le disque, les raccourcis Disques et Livres ou Horacio Molina en Colonne de droite ou les mots-clés correspondants dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, ci-dessus.
Je n'ai moi-même pas pu assister au concert (toutes les places disponibles étaient déjà distribuées avant mon arrivée et l'artiste n'a pas eu le temps de prendre contact avec moi entre son retour d'une tournée en Patagonie et les rendez-vous avec les journaliste). Hier, j'ai donc assisté à la même heure mais beaucoup plus près de mon logement à la présentation d'un très beau recueil sur Carlos Gardel et la Philatélie dans les locaux de l'Association de philatélie argentine, grâce à une invitation de Luis Alposta qui a pris la parole en sa qualité de préfacier de ce magnifique recueil.
Cet après-midi, pendant que le siège du Festival était un lieu pour virer fou à lier, la Ville a organisé un grand concert gratuit au pied de l'Obélisque en l'honneur de Daniel Baremboïm. 40 000 personnes, avance la 2x4, la radio publique de Buenos Aires, par 24° en plein air (et c'est vrai qu'il a fait plutôt chaud aujourd'hui. A découvrir aussi sur Pagina/12 mais daté de samedi, cette fois-ci et à travers le communiqué du Gouvernement de la Ville autonome de Buenos Aires sur son portail Internet).
(1) L'expression normale (je le précise pour les non francophones) est "à la guerre comme à la guerre" : se débrouiller avec des moyens inappropriés, en l'occurrence un notebook aussi buté qu'une mule et une connexion internet (Speedy) des plus capricieuses.