Pour la première fois, je lis sur un quotidien généraliste argentin les rumeurs qui circulent en Europe depuis quinze jours et selon lesquelles Poutine serait atteint d’une maladie grave et que sa transformation physique et comportementale serait due aux médicaments qu’il prend.
La Prensa parle de rumeurs venant des services de renseignement anglo-saxons (États-Unis, Grande-Bretagne, Canada et Australie).
La thèse est bien entendu tentante pour nous puisqu’elle nous rassure en nous proposant une explication rationnelle et non politique à une guerre aussi cruelle qu’absurde. Or la politique impérialiste russe est inscrite dans l’histoire du pays depuis l’époque de la Renaissance. Que Poutine soit malade ou non, elle existe et elle semble bien être à la manœuvre.
Pour aller plus loin :