En haut, le ministre fichu dehors Cliquez sur l'image pour une meilleure résolution |
Rendu furieux par l’ampleur de
la manifestation de mercredi, le nouveau président vient de virer
l’un de ses ministres. Déjà qu’il a eu du mal à composer son
gouvernement il y a six semaines, s’il décourage ainsi les
candidats !
Clarín est plus discret que son concurrent et adversaire idéologique L'événement gouvernemental est traité en haut à droite Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
Depuis quarante ans que la démocratie a remis en vigueur la Constitution argentine, on n’avait jamais vu un séjour aussi court à la tête d’un ministère national.
Pour faire bonne mesure, le
président se débarrasse aussi de deux autres personnalités qu’il
avait nommées au gouvernement et menace de couper les vivres aux gouverneurs de province qui ne seraient pas assez soumis à ses caprices politiques.
La presse quotidienne regarde tout ça et reste bouche-bée ! Les journaux de droite ont l’air fin d’avoir si souvent crié à la dictature sous le mandat de Cristina Kirchner puis, plus récemment, de Alberto Fernández. Mileí fait beaucoup "mieux" dans ce domaine et cela se voit.
Pour aller plus loin :