jeudi 11 mars 2021

Centenaire de Piazzolla par chez nous [ici]

Capture d'écran du site Web de la RTS
Cliquez sur l'image pour une haute résolution


Ici, en Europe, le centenaire existe aussi.

La chaîne de télévision culturelle franco-allemande Arte propose plusieurs émissions, dont le documentaire de Daniel Rosenfled (2016), Astor Piazzolla, Tango nuevo (sous le lien), en ligne jusqu’au 27 mai prochain. La même chaîne propose aussi d’autres vidéos, dont une capture d’une représentation de l’opéra-tango María de Buenos Aires (Astor Piazzolla - Horacio Ferrer, créé en 1969).

Ce soir, à 20h, Arte propose enfin un hommage de 97 minutes en livestream avec Richard Galliano, Leonardo Alarcón et l’orchestre philharmonique de Radio France. Le concert sera disponible en replay jusqu’au 10 mars 2024.

Capture d'écran du site Web de Arte concert
Cliquez sur l'image pour une haute résolution

En France, la radio publique France Musique (groupe Radio France) propose sept émissions rien qu’aujourd’hui. Elles ont été précédées par d’autres programmes depuis le début de cette semaine.

En Suisse, la Radio Télévision de la Suisse Romande propose quatre longues émissions, dont une double capture de Piazzolla sur scène à Lausanne d’une part et au Japon (150 minutes) et une version de María de Buenos Aires (78 minutes).

En Belgique, la Radio Télévision Francophone Belge semble moins généreuse, en tout cas sur son site Internet (1).

Je laisse à mes lecteurs le soin d’aller farfouiller sur les sites néerlandais où l’événement est sans aucun doute mieux traité (la reine des pays-Bas est argentine et elle avait fait jouer du Piazzolla à son mariage !).

L'Osservatore Romano de ce soir
page 10
Cliquez pour une haute résolution

A Rome, L’Osservatore Romano y est allé ce soir de son article, en italien bien entendu. Piazzolla est l’un des musiciens préférés du pape en matière de tango (2).

© Denise Anne Clavilier



(1) Dans ces pays multilingues, il serait bon de regarder ce qu’il se passe sur les médias audiovisuels dans les autres langues mais sur Barrio de Tango, je me contente de parler des pays francophones (sinon, je ne s’en sors pas !). Je n’ai ajouté l’italien que parce que François est argentin et que cela se sent dans sa manière d’aborder de nombreux sujets. Sans parler de l’importance que ses compatriotes lui accordent.

(2) Je n’ai pas bénéficié de confidences personnelles. J’ai juste lu les livres qu’il a publiés lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires !