La semaine du Centenaire Piazzolla commence [Actu]

"Ballade pour Astor", un titre en clin d'oeil
aux nombreuses ballades écrites par le duo Piazzolla-Ferrer
dont la très célèbre Balada para un loco (1)

Jeudi prochain, le centenaire d’Astor Piazzolla culminera avec les 100 ans de sa naissance. Aussi la presse se met sur son trente-et-un et commence à chauffer le public.

Piazzolla en manchette (en haut à droite)
et en gros titre le futur procès contre la gouvernement antérieur
pour cause d'emprunt inconstitutionnel auprès du FMI
"Au sujet des fonds et du fond"
(la rédaction n'est pas prête de lâcher le morceau !)
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Aujourd’hui, avec l’édition dominicale de Página/12, les Argentins peuvent se procurer, avec un peu d’avance, le nouveau numéro du mensuel culturel du groupe Octubre, Caras y Caretas, qui se consacre au mois de mars au grand compositeur. Le contenu du numéro n’est pas encore accessible sur le site Internet du magazine mais il devrait apparaître en ligne pour les lecteurs lointains au cours de la semaine.

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Par ailleurs, La Nación publie aussi ce matin (une ci-dessus) un méga-article qui passe en revue l’ensemble de la carrière musicale du Maestro…

Une d'hier, avec manchette sur le cycle Piazzolla
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Quant à Clarín, il a mis le musicien à sa une hier et avant-hier à l’occasion de la réouverture du Teatro Colón qui ouvre sa saison 2021 sur une dizaine de jours d’un hommage à la mesure du personnage dans le paysage culturel argentin et mondial (voir mon article consacré à ce cycle au Colón).

© Denise Anne Clavilier

www.barrio-de-tango.blogspot.com

Pour aller plus loin :

lire l’article de La Nación
accéder au site Web de Caras y Caretas

(1) bien entendu comprise dans le corpus que j'ai publié dans Barrio de Tango, recueil bilingue de tangos argentins, aux Editions du Jasmin. J'avais pu montrer cette version bilingue à Horacio Ferrer dès août 2007. Elle m'avait valu de recevoir sur l'un de ses livres de poésie une dédicace des plus flatteuses pour mon travail. Grands souvenirs chez lui, et donc grand souvenir pour moi aussi, maintenant qu'il n'est plus là pour fêter avec nous ce centenaire.