De gauche à droite : Pichuco, Astor Piazzolla (avec son petit air de se moquer de tout et de tous) Zita de Troilo (la femme de Pichuco) et Horacio Ferrer |
C'est
la semaine par excellence pour cette année de centenaire.
Ce
soir, la Academia Nacional del Tango encadre son premier Plenario du
mois entre deux Troilo, le tango rituel, Marioneta, joué par Aníbal
Troilo et son orchestre (avec la voix de Floreal Ruiz) et un tango de
cinéma, El Motivo, joué par Troilo, son quatuor et comme chanteur
ni plus ni mois que Roberto Goyeneche.
Vendredi,
nous serons déjà le 11 juillet.
A
13h30, on inaugurera ce jour-là une exposition de photos, documents
et objets ayant appartenu au grand musicien et confiés à
l'institution par ses ayant-droits et par Horacio Ferrer lui-même,
qui dispose d'archives personnelles très importantes sur un grand
artiste dont il fut aussi un ami intime.
L'exposition
est organisée par Gabriel Soria dans le Salón Angel Villoldo, dans
la partie musée qui occupe une bonne partie du premier étage du
Palacio Carlos Gardel, Avenida de Mayo 833. L'exposition sera ouverte
du lundi au vendredi de ce mois de 13h30 à 19h30.
Les
activités de ce mois Pichuco à la Academia Nacional del Tango sont
gratuites.