La Biyuya est une jeune formation de musiciens que j’adore et qui mélange dans ses shows des grands classiques du répertoire avec un arrangement revu et corrigé et des oeuvres de leur propre composition.
La Biyuya est una orquesta atípica. Normalement un orchestre de tango (una típica) se compose d’un violon, d’une contrebasse, d’un bandonéon et d’un piano. Avec La Biyuya, rien de tout cela. Un truc à la limite de l’hérésie tanguera et pourtant ils font du vrai tango, tout droit sortie de la tradition la plus authentique de cet art toujours un peu underground et qui le revendique.
Pablo Marasco est aux instruments à vent, notamment la flûte traversière qui avait disparu du paysage au temps d’Eduardo Arolas (1892-1924) !, Pablo Vaira à la basse électrique, Pablo Dichiera à la guitare (la "viola", en argot local), Santiago Varela aux percussions (avec, quand il faut, des cuillères à moka directement sur le jean, c’est là qu’elles rendent le meilleur son !). La seule fille du groupe s’appelle Marina Baigorria et elle chante. Avec une voix !
Ils se produisent ce samedi 19 juillet à La Plata, au Tango Criollo Club, le port d’attache provincial de La Guardia Hereje, et le 23 juillet à Buenos Aires, dans la Salle Pugliese du Centro Culural de la Cooperación Floreal Gorini, avenida Corrientes (1543).
Depuis 2001, il ont enregistré et auto-produit 3 disques dont un est déjà épuisé et deux sont encore disponibles : El cuento de que Dios es argentino, qui date de 2003 (cette blague selon laquelle Dieu serait argentin !), et Buenosairece (un jeu de mot où Buenos Aires tient la place du soleil qui se lève et se couche). On peut acheter leurs disques sur leur site (http://www.labiyuya.com.ar/) et écouter des extraits pour mieux se décider.
Ils travaillent d’arrache-pied pour monter une tournée en Europe. Une telle opération est un vrai travail de Romains. Quand la tournée aura pris forme, pour sûr, vous en serez informés...
La Biyuya est una orquesta atípica. Normalement un orchestre de tango (una típica) se compose d’un violon, d’une contrebasse, d’un bandonéon et d’un piano. Avec La Biyuya, rien de tout cela. Un truc à la limite de l’hérésie tanguera et pourtant ils font du vrai tango, tout droit sortie de la tradition la plus authentique de cet art toujours un peu underground et qui le revendique.
Pablo Marasco est aux instruments à vent, notamment la flûte traversière qui avait disparu du paysage au temps d’Eduardo Arolas (1892-1924) !, Pablo Vaira à la basse électrique, Pablo Dichiera à la guitare (la "viola", en argot local), Santiago Varela aux percussions (avec, quand il faut, des cuillères à moka directement sur le jean, c’est là qu’elles rendent le meilleur son !). La seule fille du groupe s’appelle Marina Baigorria et elle chante. Avec une voix !
Ils se produisent ce samedi 19 juillet à La Plata, au Tango Criollo Club, le port d’attache provincial de La Guardia Hereje, et le 23 juillet à Buenos Aires, dans la Salle Pugliese du Centro Culural de la Cooperación Floreal Gorini, avenida Corrientes (1543).
Depuis 2001, il ont enregistré et auto-produit 3 disques dont un est déjà épuisé et deux sont encore disponibles : El cuento de que Dios es argentino, qui date de 2003 (cette blague selon laquelle Dieu serait argentin !), et Buenosairece (un jeu de mot où Buenos Aires tient la place du soleil qui se lève et se couche). On peut acheter leurs disques sur leur site (http://www.labiyuya.com.ar/) et écouter des extraits pour mieux se décider.
Ils travaillent d’arrache-pied pour monter une tournée en Europe. Une telle opération est un vrai travail de Romains. Quand la tournée aura pris forme, pour sûr, vous en serez informés...