Le
Plenario bimensuel de ce soir, lundi 7 octobre 2013, à 19h30,
sera consacré à une analyse de l'œuvre
du poète et cinéaste Manuel Romero (1891-1954), sous le
titre Manuel Romero, Fabricante de Estrellas.
Cela
se passera au siège de la Academia Nacional del Tango, Avenida de Mayo 833,
premier étage, comme toujours et comme toujours, l'entrée
est libre et gratuite.
L'arrière-petite-fille
de l'artiste participera à cet hommage qui sera mené
par les deux vice-présidents, Gustavo Provitina et Gabriel
Soria.
En
tango rituel, on écoutera Buenos Aires, de Manuel Jovés
et Manuel Romero (1), enregistré en 1930 par Carlos Gardel,
accompagné par ses guitaristes et, chose peu fréquente,
le pianiste Rodolfo Biagi (2) et le violoniste Antonio Rodio.
On
remettra ensuite son diplôme d'Académicien Correspondant
itinérant à Horacio Hugo Ravera.
Dans
l'espace artistique, le chanteur Walter Romero, qui vient de lancer
un spectacle sur le répertoire de Manuel Romero, se produira
accompagné par le guitariste que vous connaissez déjà
bien, Diego Dipi Kvitko.
Pour
en savoir plus sur le chanteur :
connectez-vous
à son site Internet.
Vous
disposez d'un lien permanent avec le site de la Academia Nacional del
Tango dans la rubrique Les institutions, dans la partie basse de la
Colonne de droite de ce blog.
(1) Cette letra est présentée en version bilingue et dans ma traduction dans Barrio de Tango, recueil bilingue de tangos argentins que j'ai publié en mai 2010 aux Editions du Jasmin et que je dédicacerai ce dimanche au Salon du Livre de Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne).
(2)
Le même qui devait changer la face du tango en 1935 en
intégrant l'orchestre de Juan D'Arienzo et en lui inspirant ce
style très vivace qui caractérise ce chef et sa
Cumparsita qui ressuscita le genre, près alors de suivre
Carlos Gardel dans la tombe...