Comme nous l’avons fait nous-mêmes en Europe au sortir du printemps, notamment lors de la fête de la Musique, le 21 juin, les Argentins, et en particulier les Portègnes ainsi que leurs voisins du Gran Buenos Aires, commencent à se relâcher maintenant que les beaux jours sont arrivés. Les gestes barrière sont de plus en plus oubliés.
Médecins et ministres, informés de ce qu’il se passe ailleurs dans le monde, montent donc au créneau, comme ils l’avaient fait aussi chez nous, hélas en pure perte, pour avertir leurs compatriotes du danger qui les guette puisque, si la courbe des décès et celle des hospitalisations semblent décroître enfin durablement, la pandémie n’en est pas finie pour autant. Ils ont déjà à l’esprit une deuxième vague qui s’est bel et bien produite dans l’hémisphère nord et qui pourrait advenir à l’automne, en mars puis en avril.
Miguel Rep a
tout résumé dans sa vignette de ce jour dans l’édition de
Página/12.
Elle se passe presque de traduction tant le dessin porte la
démonstration.
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Pour en savoir
plus :
lire l’article de Página/12 sur les déclarations du ministre de la Santé de la Province de Buenos Aires
lire l’article de La Prensa
lire l’article de Clarín