Cliquez sur l'image pour une haute résolution Visionner la vidéo |
En ce 9 Juillet , fête de l’Indépendance pour
l’Argentine, j’ai mis en ligne une conférence donnée à
l’automne 2015 à Gretz-Armainvilliers, dans le cadre de la série
de conférences proposée par Christian Bourdeille, actuel président
du Souvenir Napoléonien (1).
Comme
je le fais d’habitude, j’ai pris l’enregistrement audio et l’ai
monté avec un diaporama qui mêle des documents historiques et des
photos, la plupart du temps prises par moi-même en Argentine et, cette fois-ci, également à Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, là où San Martín
est décédé le 17 août 1850, à soixante-douze ans (2).
Cliquez sur l'image pour une haute résolution |
C’est
la septième vidéo qui rejoint cette chaîne que m’a fait créer
le confinement. Vous y trouverez des vidéos en français et en
anglais qui couvrent maintenant dans les deux langues tous les sujets
que j’ai déjà abordés dans mes livres : musique populaire
urbaine (tango), culture populaire rurale (recueil de contes),
histoire, avec les deux figures tutélaires que sont Manuel Belgrano
(1770-1820) et José de San Martín (1778-1850).
Et
comme c’est la fête, j’ai pu illustrer ce nouveau montage de
deux chants avec la précieuse et gracieuse autorisation du musicien,
Omar Hernández, interprète pour l’un et auteur-compositeur
interprète pour l’autre, un artiste que j’ai rencontré à
Mendoza lors du congrès international d’histoire pour le
bicentenaire du gouvernorat de San Martín et qui est par la suite
devenu un ami. Superbe voix et une manière de chanter l’amour de
son pays et de son histoire qui vous prend aux tripes même si vous
ne parlez pas l’espagnol.
Pour
aller plus loin :
accéder
à l’ensemble de la chaîne
(1)
En 2015, il était délégué pour Paris et la région Ile-de-France.
Christian Bourdeille agissait à double titre, comme responsable
local du Souvenir et comme adjoint au maire en charge de la culture
de la Ville de Gretz-Armainvilliers.
(2)
La maison qu’il a habitée et où il est mort est maintenant un
musée argentin extraterritorial. Entrée libre et gratuite du mardi
au samedi. Les autorités argentines vous engagent à verser une
participation libre pour l’entretien de ce patrimoine qui touche
aussi à notre histoire. La construction de cette belle maison
bourgeoise située dans la Grande Rue, à mi-hauteur entre la Ville
Basse et la Ville Haute, a été achevée au tout début de l’année
1848. Elle était la propriété d’un prospère avocat boulonnais.