jeudi 9 juillet 2020

San Martín, libérateur de l’Argentine, du Chili et du Pérou : conférence disponible sur Dailymotion [ici]

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En ce 9 Juillet , fête de l’Indépendance pour l’Argentine, j’ai mis en ligne une conférence donnée à l’automne 2015 à Gretz-Armainvilliers, dans le cadre de la série de conférences proposée par Christian Bourdeille, actuel président du Souvenir Napoléonien (1).

Comme je le fais d’habitude, j’ai pris l’enregistrement audio et l’ai monté avec un diaporama qui mêle des documents historiques et des photos, la plupart du temps prises par moi-même en Argentine et, cette fois-ci, également à Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, là où San Martín est décédé le 17 août 1850, à soixante-douze ans (2).

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C’est la septième vidéo qui rejoint cette chaîne que m’a fait créer le confinement. Vous y trouverez des vidéos en français et en anglais qui couvrent maintenant dans les deux langues tous les sujets que j’ai déjà abordés dans mes livres : musique populaire urbaine (tango), culture populaire rurale (recueil de contes), histoire, avec les deux figures tutélaires que sont Manuel Belgrano (1770-1820) et José de San Martín (1778-1850).

Et comme c’est la fête, j’ai pu illustrer ce nouveau montage de deux chants avec la précieuse et gracieuse autorisation du musicien, Omar Hernández, interprète pour l’un et auteur-compositeur interprète pour l’autre, un artiste que j’ai rencontré à Mendoza lors du congrès international d’histoire pour le bicentenaire du gouvernorat de San Martín et qui est par la suite devenu un ami. Superbe voix et une manière de chanter l’amour de son pays et de son histoire qui vous prend aux tripes même si vous ne parlez pas l’espagnol.

Pour aller plus loin :



(1) En 2015, il était délégué pour Paris et la région Ile-de-France. Christian Bourdeille agissait à double titre, comme responsable local du Souvenir et comme adjoint au maire en charge de la culture de la Ville de Gretz-Armainvilliers.
(2) La maison qu’il a habitée et où il est mort est maintenant un musée argentin extraterritorial. Entrée libre et gratuite du mardi au samedi. Les autorités argentines vous engagent à verser une participation libre pour l’entretien de ce patrimoine qui touche aussi à notre histoire. La construction de cette belle maison bourgeoise située dans la Grande Rue, à mi-hauteur entre la Ville Basse et la Ville Haute, a été achevée au tout début de l’année 1848. Elle était la propriété d’un prospère avocat boulonnais.