Après
le F.I.L.M, festival international du livre militaire organisé par
les Ecoles Saint-Cyr Coëtquidan pour la sixième année consécutive
les 24 et 25 juillet prochain, le mardi 4 août 2015, à partir de
14h, c'est à la librairie du musée du Quai Branly, à Paris, que je
présenterai et dédicacerai mes ouvrages sur la culture argentine,
avec en vedette Contes animaliers d'Argentine (Editions du Jasmin)
dont ce sera la première sortie parisienne, après la présentation
à la librairie Ombres Blanches de Toulouse, dans le cadre du festival Tangopostale (1).
Sauf
canicule persistante, je compte bien vous y faire déguster le mate.
Dans un lieu consacré aux cultures des peuples premiers, c'est bien
le moindre hommage que l'on puisse rendre aux peuples originaires
d'Argentine, puisque cette boisson considérée comme un emblème
national dans ce pays comme au Paraguay, en Uruguay et au Chili,
vient tout droit du peuple m'bya (guarani) qui l'a laissé
transformer par les pères jésuites en une infusion à base d'eau
chaude...
Pendant
tout l'été et jusqu'à la fin septembre, le musée propose une
intéressante exposition intitulée l'Inca et le Conquistador, ce qui
nous envoie voyager du côté péruvien, un moment idéal donc pour
vous proposer mes livres sur San Martín, qui défit le travail de
conquête des conquistadors espagnols en rendant la liberté à ces
pays, l'Argentine, le Chili et en tout dernier lieu, le plus
difficile, le Pérou :
- San Martín A rebours des conquistadors, Editions du Jasmin, décembre 2012
- San Martín par lui-même et par ses contemporains, Editions du Jasmin, mai 2014
L'exposition s'intéresse à l'Empereur Atahualpa, le dernier Inca, assassiné par les Espagnols, et à Francisco Pizarro, dont San Martín eut la claire conscience de défaire l'œuvre asservissante. Lorsqu'il parvint à faire déclarer l'indépendance du Pérou à Lima, en signe de reconnaissance pour cette liberté, les libéraux péruviens lui offrirent la bannière de Pizarro (2) qui était restée au Cabildo de la Ville des Rois (Ciudad de los Reyes) (3).
Sur mon site Internet, vous pouvez écouter différentes interviews que j'ai données sur tous ces sujets en français et en espagnol ainsi que ma conférence du 2 septembre 2014, en espagnol, au CCC Floreal Gorini, à Buenos Aires, en compagnie de l'historienne argentine Fabiana Mastrangelo.
Le musée se trouve au n°37 du quai Branly, dans le 7ème arrondissement. Le mardi, il est ouvert de 11h à 19h. La librairie est située à la lisière entre musée et jardin. Dans cet espace, les plafonds ont été exécutés par des artistes aborigènes d'Australie.
Sur mon site Internet, vous pouvez écouter différentes interviews que j'ai données sur tous ces sujets en français et en espagnol ainsi que ma conférence du 2 septembre 2014, en espagnol, au CCC Floreal Gorini, à Buenos Aires, en compagnie de l'historienne argentine Fabiana Mastrangelo.
Le musée se trouve au n°37 du quai Branly, dans le 7ème arrondissement. Le mardi, il est ouvert de 11h à 19h. La librairie est située à la lisière entre musée et jardin. Dans cet espace, les plafonds ont été exécutés par des artistes aborigènes d'Australie.
La
librairie propose des réductions aux abonnés du musée.
Le musée dispose d'un site Internet et d'une page Facebook.
Pour accéder directement à la page Web consacrée à la librairie, cliquez ici.
Et
le 17 août, Día de San Martín en Argentine (4), j'entamerai une
nouvelle chronique d'Argentine avec un programme déjà chargé de
présentations à Buenos Aires puis un autre, tout aussi intense
sinon plus, à Mendoza.
Dès que les dates et les lieux sont fixés,
j'annonce tout cela, en espagnol en priorité, sur ce blog comme sur ma page Facebook et l'agenda de mon site Internet.
(1) La présentation parisienne en grande tenue (conférence-débat et tout et tout) aura lieu le mardi 1er décembre 2015 au Café de la Mairie, place Saint-Sulpice, à 20h. Entrée gratuite mais consommation obligatoire. Je vous en reparlerai à l'automne, ainsi que de la conférence sur San Martín que je donnerai à Gretz-Armainvilliers (77) le samedi précédent, à 11h (28 novembre).
(2) Dans San Martín par lui-même et par ses contemporains, on peut lire en version bilingue deux des textes qui se rapportent à ce don honorifique : l'un est une proclamation de San Martín lui-même lorsqu'il quitta le Pérou en septembre 1822 après l'avoir gouverné pendant un an, et l'autre est la description qu'en fit le grand intellectuel argentin Juan Bautista Alberdi, qui put admirer cette bannière dans la maison de campagne de San Martín à Evry-sur-Seine (aujourd'hui préfecture de l'Essonne) en septembre 1843. La bannière a été rendue au Pérou par la famille de San Martín au moment de la seconde inhumation de celui-ci dans le caveau familial de Brunoy (91) dix ans après sa mort.
(2) Dans San Martín par lui-même et par ses contemporains, on peut lire en version bilingue deux des textes qui se rapportent à ce don honorifique : l'un est une proclamation de San Martín lui-même lorsqu'il quitta le Pérou en septembre 1822 après l'avoir gouverné pendant un an, et l'autre est la description qu'en fit le grand intellectuel argentin Juan Bautista Alberdi, qui put admirer cette bannière dans la maison de campagne de San Martín à Evry-sur-Seine (aujourd'hui préfecture de l'Essonne) en septembre 1843. La bannière a été rendue au Pérou par la famille de San Martín au moment de la seconde inhumation de celui-ci dans le caveau familial de Brunoy (91) dix ans après sa mort.
(3) Les rois en question sont les mages de l'Evangile selon saint Matthieu.
(4)
Il se trouve que cette année, le Día de San Martín tombe un lundi
et qu'il sera bien fêté ce jour-là, qui est férié en Argentine.
Et comme ce sera aussi le troisième lundi du mois, ce sera un plenario de
la Academia Nacional del Tango et nous y deviserons, avec Gabriel
Soria et Vanina Steiner, de la revue Tinta Roja, sur le thème
Francia y el Tango.