vendredi 29 janvier 2010

Porque Quiero en el Tasso : retour en vidéos [Disques & Livres]

Capture d'écran de la vidéo sur You tube


Porque Quiero (parce que je le veux, ou parce que j’aime ça) est le titre du plus récent et quatrième disque de la chanteuse Jacqueline Sigaut. J’ai eu en août le plaisir et la chance d’assister à la première présentation de ce disque au Centro Cultural Torcuato Tasso, la salle emblématique du quartier de San Telmo au sud du centre de Buenos Aires.

Je vous en avais parlé en son temps (lire mon article du 14 août 2009).

J’ai eu la chance d’assister à ce concert. J’étais installée au premier rang sur la gauche de la scène et en excellente compagnie (jugez du peu : le poète Raimundo Rosales, le compositeur et guitariste Marcelo Sarraceni, l’auteur-compositeur-interprète et pianiste Claudia Levy, la productrice radiophonique de la 2 x 4 Paula Cherkof et d’autres encore que je dois oublier, qu’ils me pardonnent). La table à notre droite était celle de Amelita Baltar, qui s’est levée à un moment donné pour monter sur scène et chanter avec Jacqueline la version francophone de Oblivión (Astor Piazzolla).

De cette présentation et de ce disque plein de nouveautés, donc des morceaux signés de Raimundo et Marcelo, et d’autres artistes contemporains, Jacqueline a tiré trois vidéos, sur trois morceaux différents, et elle vient de les mettre en ligne sur You Tube.

La prise de vue est obscure et lointaine mais elle est stable (c’est une salle de spectacle plongée dans le noir). Le son est bon sans être excellent (1). La voix de Jacqueline est superbe et celle de Amelita Baltar (2) se passe décidément de commentaire....
A visionner et à écouter toute affaire cessante !

Visionner la vidéo de Sin lagrimas (sans larme)
Visionner la vidéo de Cualquiera de estas noches (Quelqu’une de ces nuits)
Visionner la vidéo de Jacqueline Sigaut chantant Oblivión avec Amelita Baltar et en français (à couper le souffle et c’était encore plus impressionnant sur place, avec la présence scénique des deux chanteuses, bien sûr).

Pour en savoir plus :
Retrouvez le site de Jacqueline Sigaut dans la rubrique Grillons, zorzales et autres cigales, dans la partie basse de la Colonne de droite.
Pour lire les autres articles concernant Jacqueline dans ce blog, cliquez sur son nom dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search (en haut de cet article) ou dans la rubrique Vecinos del Barrio, dans la partie haute de la Colonne de droite (vous y trouverez aussi des raccourcis sur une centaine d’artistes auxquels j’ai déjà consacré au moins 3 articles dans Barrio de Tango).
En cliquant sur le mot-clé Retour images dans le bloc Pour chercher, vous accéderez à tous les reportages photos sur différents concerts, tant chez nous en Europe (Litto Nebbia, Mariel Martínez et Alejandro Picciano, Néstor Tomassini, Hernán Reinaudo et Ananta Roosens...) que là-bas, à Buenos Aires (Festival de tango, Horacio Ferrer, Cucuza et aussi Alorsa...)



(1) Si vous voulez entendre les artistes comme si vous les aviez à un ou deux mètres de vous, visitez donc la rubrique Les Commerçants del Barrio de Tango (Colonne de droite, partie basse, avec les liens externes). Vous pouvez acquérir le disque en ligne, sans aucun risque si vous prenez les précautions d’usage (avec protection anti-virus de votre PC et tutti quanti). Chez Zivals, vous vous faites livrer par la Poste Argentine (Correo Argentino) et le paquet met environ trois semaines à vous arriver. D’ici là, vous resterez connecté à ce blog et vous découvrirez les artistes à travers mes articles en français et les différents et nombreux liens à leurs sites et à leurs pages Myspace que j’ai parsemés dans toute la rubrique A l’affiche et toute la rubrique Disques & Livres...
(2) Amelita Baltar remonte jeudi prochain (4 février 2010) sur scène, à Clásica et Moderna, pour une nouvelle série de 12 représentations de Tres mujeres para el show. Elle sera accompagnée bien sûr par Susana Rinaldi et Marikena Monti, les deux autres vedettes de ce spectacle qui constitue la reprise d’un immense succès des années 70. Cela aussi, c’est à voir absolument mais uniquement si vous vous trouvez à Buenos Aires bien entendu.
Lire mon article de janvier 2010 à ce sujet.