Photo Fernando Font |
Sous l'autorité de la
vice-présidente argentine, le Congrès s'est réuni hier dans le
Teatro San Martín de San Miguel de Tucumán, pour célébrer le
Bicentenaire de la Déclaration d'indépendance, qui fut signée et
proclamée dans cette ville le 9 juillet 1816.
La séance exceptionnelle,
boycottée par le Frente para la Victoria, le parti de Cristina
Kirchner, aux destinées duquel elle n'a jamais voulu présider au-delà de son mandat à la Casa Rosada, a vu
les députés et les sénateurs présents appeler les Argentins à
plus d'unité au service de la Patrie. En l'absence du plus important
groupe de l'opposition (dépité par les ennuis que la Justice s'efforce de causer à Cristina), c'est un adorable vœu pieux.
La présidence de séance
était installée sur la scène, au fond de laquelle on avait
installé une reproduction toute blanche de la façade de la Casa
Histórica, le musée de l'indépendance installé dans les murs même
de la maison patricienne qui accueillit les députés constituants en
1816.
Pour en savoir plus :
lire l'article de Clarín