mardi 17 mai 2011

Hommage à Eladia Blázquez au Salón Dorado [à l'affiche]

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La danseuse classique Laura Durante, danseuse et chorégraphe du Teatro Colón, l'opéra de Buenos Aires, rendra hommage à l'auteur-compositeur-interprète Eladia Blázquez ce vendredi 13 mai 2011 à 19h30, au Salón Dorado, de la Casa de la Cultura, qui est le siège du Ministère de la Ville de Buenos Aires, à l'angle entre Avenida de Mayo et la place homonyme (la Casa de la Cultura est mitoyenne avec le Siège du Gouvernement Portègne).

Entrée libre et gratuite.

Dans ce spectacle, qui raconte la vie et présente l'oeuvre musicale de l'une des toutes premières artistes créatrices féminines connues comme telle, on entendra des textes inédits ou peu connus, des images et des références aux grands succès de Eladia Blázquez comme El corazón al sur (le coeur au sud), Sueño de barrilete (rêve de cerf-volant), Honrar la vida (honorer la vie), Con las alas del alma (sur les ailes de l'âme), Somos como somos (on est comme on est), Siempre se vuelve a Buenos Aires (on revient toujours à Buenos Aires), Mi ciudad y mi gente (ma ville et les miens), Contra viento y marea (contre vents et marées)...

La chanteuse Beatriz Ayas et le pianiste Tomas Nine seront eux aussi du spectacle.

Pour découvrir la Maestra Eladia Blázquez (1), connectez-vous à la page qui lui est consacrée sur le portail encyclopédique argentin Todo Tango, sur le blog consacré au souvenir de l'artiste décédée en 2005, et sur la page Myspace que les mêmes admirateurs lui ont dédiée à titre posthume, là encore (un hommage en ligne que vous pourrez retrouvez sur ma propre page Myspace parmi mes contacts).

(1) Eladia Blázquez est présente dans Barrio de Tango, recueil bilingue de tangos argentins, publié en mai 2010 aux Editions du Jasmin (France), en qualité de compositrice : c'est elle qui a mis en musique Viejo Tortoni, l'hommage du poète Héctor Negro à ce café historique du centre de Buenos Aires (p 322). Elle est aussi présente, en pointillé, dans l'une des esquinas du livre, celle consacrée aux différents quartiers de Buenos Aires, avec une citation de ce chef-d'oeuvre qu'est Siempre se vuelve a Buenos Aires, un tango dont la musique est signée Astor Piazzolla (p 264).