Affiche extraite du site de ND Ateneo
Ce sera donc vendredi 25 septembre, au Théâtre ND Ateneo, Paraguay 918, dans le quartier de Retiro.
La contagion étant à présent du passé, en tout cas au niveau collectif, les concerts annulés réapparaissent les uns derrière les autres.
Autour du chanteur, demain soir, il y aura pour l’accompagner Rodrigo Guerra (banjo, oud, bouzouki, trombone, scie musicale), Pato Cotella (contrebasse), Gustavo Paglia et Leandro Snaider (bandonéons) et Hernán Reinaudo (guitare). Ils jouent ensemble sous le nom de groupe de Ramones del Tango.
(1) Ce choix, qui est celui des professionnels argentins de la musique et du disque, a surpris les observateurs et fait grincer pas mal de dents dans le landerneau tanguero de Buenos Aires. Dans l’ensemble, le palmarès tango des prix Gardel cette année n’était pas celui que l’on attendait, il faut reconnaître aussi qu’il a laissé de côté de très grands musiciens. Daniel Melingo pour sa part est sans doute plus apprécié en dehors des frontières qu’en Argentine même où son esthétique et ses choix musicaux, comme compositeur et comme instrumentiste, partagent fortement le public en deux groupes. Ou on aime ou on déteste. En tout cas, là-bas, il ne laisse personne indifférent. Il a fait récemment, en mai, la couverture de El Tangauta, une des revues spécialisées les plus importantes de Buenos Aires.
Parmi mes amis, j’ai un nombre à peu près équivalent de musiciens qui détestent son style (et généralement ne connaissent pas l’homme, parfois même ne l’ont jamais vu sur scène) et d’autres qui apprécient et le musicien et le chanteur et l’artiste de scène, les uns connaissant l’homme, les autres non.
Daniel Melingo, qui vient de recevoir le prix Gardel 2009 (1) pour son album Maldito Tango (meilleur album masculin de tango), se produit le 25 septembre à 21h, en remplacement de son récital, qui aurait dû avoir lieu le 25 juillet et qui a été annulé pour cause de politique de prévention anti-grippe A. C’était au beau milieu de sa tournée européenne. Un aller-retour pour rien ! Enfin pas tout à fait puisqu’il y a eu aussi l’annonce des Gardel de l’année.
Ce sera donc vendredi 25 septembre, au Théâtre ND Ateneo, Paraguay 918, dans le quartier de Retiro.
La contagion étant à présent du passé, en tout cas au niveau collectif, les concerts annulés réapparaissent les uns derrière les autres.
Autour du chanteur, demain soir, il y aura pour l’accompagner Rodrigo Guerra (banjo, oud, bouzouki, trombone, scie musicale), Pato Cotella (contrebasse), Gustavo Paglia et Leandro Snaider (bandonéons) et Hernán Reinaudo (guitare). Ils jouent ensemble sous le nom de groupe de Ramones del Tango.
Daniel Melingo est actuellement en plein enregistrement de son prochain disque. A suivre...
Pour en savoir plus sur les prix Gardel de cette année, lire mon article de présentation des candidats avant le vote et mon article sur la remise ou plus exactement la non remise des prix (pour cause de grippe A) après le vote.
Tous mes articles sur Daniel Melingo (dont celui sur l’interview accordée à Página/12 en avril de cette année) sont accessibles en cliquant sur son nom dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, en haut de l’article, ou dans la rubrique Vecinos del Barrio, dans la Colonne de droite.
Vous pouvez également lire les articles consacrés à Hernán Reinaudo, le guitariste tous azimuts du tango d’aujourd’hui. Hernán dispose de son propre raccourci parmi les Vecinos del Barrio (habitants du quartier).
Vous pouvez également lire les articles consacrés à Hernán Reinaudo, le guitariste tous azimuts du tango d’aujourd’hui. Hernán dispose de son propre raccourci parmi les Vecinos del Barrio (habitants du quartier).
(1) Ce choix, qui est celui des professionnels argentins de la musique et du disque, a surpris les observateurs et fait grincer pas mal de dents dans le landerneau tanguero de Buenos Aires. Dans l’ensemble, le palmarès tango des prix Gardel cette année n’était pas celui que l’on attendait, il faut reconnaître aussi qu’il a laissé de côté de très grands musiciens. Daniel Melingo pour sa part est sans doute plus apprécié en dehors des frontières qu’en Argentine même où son esthétique et ses choix musicaux, comme compositeur et comme instrumentiste, partagent fortement le public en deux groupes. Ou on aime ou on déteste. En tout cas, là-bas, il ne laisse personne indifférent. Il a fait récemment, en mai, la couverture de El Tangauta, une des revues spécialisées les plus importantes de Buenos Aires.
Parmi mes amis, j’ai un nombre à peu près équivalent de musiciens qui détestent son style (et généralement ne connaissent pas l’homme, parfois même ne l’ont jamais vu sur scène) et d’autres qui apprécient et le musicien et le chanteur et l’artiste de scène, les uns connaissant l’homme, les autres non.