Par cette annonce toute faite, les chaîne de télévision ont l'habitude d'expliquer, sans rien expliquer, l'interruption de la diffusion de leurs programmes.
Et c'est à peu près la phrase que me sert mon fournisseur d'accès pour m'expliquer pourquoi mon modem personnel reste muet et incapable de me mettre en contact avec Internet depuis mercredi 9 septembre au petit matin. On se croirait plongé dans une comédie de Molière avec les techniciens de la hot-line en guise de médecin : "et voilà, Monsieur, ce qui fait que votre ligne est muette"...
D'autant qu'en plus, le service commercial m'envoyant des courriers en me servant fort aimablement du Monsieur Denise Anne Clavilier, pour savoir si je suis contente du service apporté par la hot-line. Ben voyons...
Tout ça pour vous dire que dans ce climat de comédie du 17ème siècle, Barrio de Tango se trouve en rade et en grande difficulté pour être tenu à jour. Je vais donc, en attendant que Monsieur le Service Technique veuille bien rétablir la connexion (et vu comme c'est parti et la diversité des réponses que je reçois à chaque fois que j'appelle va sans doute prendre un peu de temps), je vais faire appel au système D et demander à la famille de publier à ma place mes articles en profitant de leur connexion ou publier mes articles uniquement le week-end, lorsque je ne travaille pas et que j'ai donc la possibilité de squatter la connexion d'autrui...
En effet, ce blog est un espace entièrement bénévole (voluntario), libre, comme vous le constatez, de toute publicité commerciale, ce qui veut dire qu'en dehors de ce travail de rédaction qui ne me rapporte pas un sou, j'exerce aussi un métier qui me permet de gagner ma vie, parce que même la passion ne fait pas que je puisse vivre seulement d'amour (du tango) et d'eau fraîche...
Cette interruption de service sur ma ligne personnelle vous explique que je remette à plus tard la parution des différentes retours sur images conçus à Buenos Aires (la publication des photos, c'est assez consommateur de temps sur blogspot, si on veut que ça ait un peu d'allure), les hommages déjà annoncés mardi dernier à Alorsa et la reprise de l'activité normale pour parler des événements de l'actualité. A Buenos Aires en effet, la vie du tango et de la culture continue mais je n'ai pas encore la disponibilité pour vous en rendre compte correctement.
D'autant qu'ici, Litto Nebbia est en France et qu'il chante jeudi et vendredi prochain, à Paris. Et que le bouclage de mon livre, si je veux qu'un jour il sorte en librairie, me donne une bonne tranche de travail en ce moment...
C'est toujours au plus mauvais moment que ces incidents-là se produisent. Et dire que mes amis à Buenos Aires croient dur comme fer que ces choses-là n'arrivent jamais ici, que c'est réservé à leur pays... Et que non ! C'est ça, la mondialisation du capital. Le même mauvais service au client pour tous, du nord au sud de la planète...
Et c'est à peu près la phrase que me sert mon fournisseur d'accès pour m'expliquer pourquoi mon modem personnel reste muet et incapable de me mettre en contact avec Internet depuis mercredi 9 septembre au petit matin. On se croirait plongé dans une comédie de Molière avec les techniciens de la hot-line en guise de médecin : "et voilà, Monsieur, ce qui fait que votre ligne est muette"...
D'autant qu'en plus, le service commercial m'envoyant des courriers en me servant fort aimablement du Monsieur Denise Anne Clavilier, pour savoir si je suis contente du service apporté par la hot-line. Ben voyons...
Tout ça pour vous dire que dans ce climat de comédie du 17ème siècle, Barrio de Tango se trouve en rade et en grande difficulté pour être tenu à jour. Je vais donc, en attendant que Monsieur le Service Technique veuille bien rétablir la connexion (et vu comme c'est parti et la diversité des réponses que je reçois à chaque fois que j'appelle va sans doute prendre un peu de temps), je vais faire appel au système D et demander à la famille de publier à ma place mes articles en profitant de leur connexion ou publier mes articles uniquement le week-end, lorsque je ne travaille pas et que j'ai donc la possibilité de squatter la connexion d'autrui...
En effet, ce blog est un espace entièrement bénévole (voluntario), libre, comme vous le constatez, de toute publicité commerciale, ce qui veut dire qu'en dehors de ce travail de rédaction qui ne me rapporte pas un sou, j'exerce aussi un métier qui me permet de gagner ma vie, parce que même la passion ne fait pas que je puisse vivre seulement d'amour (du tango) et d'eau fraîche...
Cette interruption de service sur ma ligne personnelle vous explique que je remette à plus tard la parution des différentes retours sur images conçus à Buenos Aires (la publication des photos, c'est assez consommateur de temps sur blogspot, si on veut que ça ait un peu d'allure), les hommages déjà annoncés mardi dernier à Alorsa et la reprise de l'activité normale pour parler des événements de l'actualité. A Buenos Aires en effet, la vie du tango et de la culture continue mais je n'ai pas encore la disponibilité pour vous en rendre compte correctement.
D'autant qu'ici, Litto Nebbia est en France et qu'il chante jeudi et vendredi prochain, à Paris. Et que le bouclage de mon livre, si je veux qu'un jour il sorte en librairie, me donne une bonne tranche de travail en ce moment...
C'est toujours au plus mauvais moment que ces incidents-là se produisent. Et dire que mes amis à Buenos Aires croient dur comme fer que ces choses-là n'arrivent jamais ici, que c'est réservé à leur pays... Et que non ! C'est ça, la mondialisation du capital. Le même mauvais service au client pour tous, du nord au sud de la planète...