mardi 15 février 2011

Ce soir, présentation de Deux cents ans après à Paris [ici]

Il n'y aura pas d'autre article publié sur Barrio de Tango aujourd'hui, pour cause de conférence, ce soir, à 20h, à l'Espace Tango Negro, à Paris, à l'occasion de la récente sortie de ma nouvelle anthologie bilingue de tango et de poésie populaire du Río de la Plata, Deux cents ans après, le Bicentenaire de l'Argentine à travers le patrimoine littéraire du tango, revue Triages, supplément 2010, Tarabuste Editions.

La conférence a lieu au 71 rue Rochechouart, dans le 9ème arrondissement, au pied de la colline de Montmartre (M° Anvers). L'entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles, selon la formule consacrée. Et ma journée sera entièrement consacrée aux préparatifs, notamment ceux du pot amical qui suivra, dont je tenterai de faire un léger buffet campagnard qui vous permettra de ne pas mourir d'inanition après ce voyage auquel je vous invite à travers l'histoire du tango, depuis sa conception jusqu'à nos jours.

Mes deux ouvrages, Deux cents ans après et Barrio de Tango (ed. du Jasmin), seront disponibles à la vente sur place (prix respectif : 20 et 24,90 €).

Sur le contenu de Deux cents ans après, voir mon article du 26 janvier 2010.
Pour lire l'ensemble des articles relatifs à ce nouvel ouvrage, vous pouvez cliquer ci-dessus sur le mot-clé Ant Triages, dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, qui se trouve entre le titre et le corps de chaque entrée de ce blog. Dans cet ensemble, un article récent, en date du 11 février 2011, vous renverra vers une liste d'écoute reprenant une trentaine de morceaux contenus dans le livre. Elle est accessible sur ma page publique du réseau Myspace.

Cet article est le n° 1998 de Barrio de Tango.
Pour le n° 2000, ça se fête !, je vous garde en réserve un très beau photo-reportage de Pablo Vignali sur une exposition à ciel ouvert organisée en janvier à Montevideo. Ce sera la première fois que je consacrerai à l'Uruguay l'un de mes articles numérotés. Il n'est jamais trop tard pour bien faire, non ?