C'est à un récital un peu particulier que nous invite l'auteur-compositeur-interprète Lucio Arce à l'Hostel Cultural Terrasa, Corrientes 3594, vendredi 25 février 2011 à 21h30, a la gorra (1).
Le spectacle s'appelle modestement Tributo a mí mismo (ce qui se comprend assez facilement, surtout avec les pitreries auxquelles se livre l'ami Lucio sur cette affiche plutôt marrante, à moins que vous ne soyez désespérément allergique à l'humour argentin et à l'humour en général, de quelque pays que ce soit).
Il a invité autour de lui un certain nombre d'artistes amis qui tous chanteront ses chansons (avec des intervertions sur l'affiche) :
Facundo Radice et Bruma Ottavianelli
Santiago Alvarez (harmonica)
le Dúo Púa Abajo et le Dr Romero (harmonica aussi).
Si vous êtes à Buenos Aires, il ne faut pas rater un truc pareil (Lucio parle parfaitemnet l'anglais des Etats-Unis et comprend assez bien le français : donc vous pourrez le saluer de ma part).
Ajout du 22 février 2011 : Lucio Arce fait savoir qu'il y a un changement de lieu. On passe de Almagro à San Cristobal. Le concert sera donné au Teatro Orlando Goñi (du nom d'un des grands pianistes de Troilo), situé Cochabamba 2536, une rue coincée entre Avenida San Juan et l'Autoroute 25 de Mayo. D'où un changement de photo, ci-dessus, aujourd'hui.
Ajout du 22 février 2011 : Lucio Arce fait savoir qu'il y a un changement de lieu. On passe de Almagro à San Cristobal. Le concert sera donné au Teatro Orlando Goñi (du nom d'un des grands pianistes de Troilo), situé Cochabamba 2536, une rue coincée entre Avenida San Juan et l'Autoroute 25 de Mayo. D'où un changement de photo, ci-dessus, aujourd'hui.
Pas d'autre article aujourd'hui : à 18h, j'anime un nouveau Rendez-vous littéraire Tangos d'hier et d'aujourd'hui, à l'Académie Esprit Tango, 3 rue des Vignoles, Paris 20ème (M° Avron), autour de la letra de Toda mi vida et, si on a le temps, de Como dos extraños, deux textes de José María Contursi, sur une musique l'un de Aníbal Troilo, l'autre de Pedro Laurenz, deux grands bandonéonistes devant l'Eternel, à la suite du premier rendez-vous, le 5 février dernier, où nous avions scruté Mi noche triste, du papa, Pascual Contursi, letra historique sur laquelle je reviendrai, au Café littéraire qui s'ouvrira le mardi 1er mars, à 20h, toujours à Paris, mais cette fois-ci à l'Espace Tango Negro (voir mon article d'hier à ce sujet). Ce soir, on saute à la génération suivante, tout en continuant d'explorer la même thématique littéraire, l'amour déçu et malheureux (voir mon article du 7 février 2011 sur ce deuxième Rendez-vous parisien).
(1) a la gorra : l'expression se trouve traduite dans la Trousse lexicale d'urgence, que j'ai mise à disposition dans la partie médiane de la Colonne de droite.