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Ce qu’il y a de bien avec Internet, c’est
qu’il nous a enfin dotés d’ubiquité…
Le
3 juin, pour l’une des dates-clés de cette Année du Général
Manuel Belgrano, je serai donc à la fois en Argentine, grâce à une
radio catholique de la province de San Juan, Radio Madre de Dios (1),
et à Ricardo Sánchez Alonso, l’animateur de son émission
Entrevista sobre Educación, tout en étant présente physiquement en
France, d’où je mettrai en ligne un nouveau montage vidéo, cette
fois-ci à partir de l’enregistrement de ma conférence du 27
février dernier à l’Ambassade argentine à Paris.
Ricardo
Sánchez Alonso est argentin, il vit à San Juan et c’est là qu’il
m’a repérée, il y a trois ans, lorsque j’ai participé au
Congrès International d’Histoire à l’occasion du bicentenaire
de la Traversée des Andes. De San Martín, nous passons donc cette
année à Belgrano. D’un libérateur à l’autre, c’est toujours
de l’épisode fondateur de l’histoire argentine qu’il s’agit.
Pour
des raisons évidentes de décalage horaire, mercredi, l’interview
ne sera pas transmise en direct mais enregistrée demain dans
l’après-midi (heure française).
L’interview
sur Radio Madre de Dios sera diffusée à 21h (heure argentine) par
voie hertzienne et sur Youtube pour ceux que les ondes n’atteignent
pas. Vous pouvez d’ores et déjà aller écouter les interviews
déjà en ligne.
C'est cette photo de Manuel Belgrano posant devant le portrait de Manuel Belgrano, son ancêtre, qui a incité Ricardo Sánchez à prendre contact avec moi pour une interview |
Sur
les ondes argentines, je parlerai espagnol. Sur ma chaîne Dailymotion, la conférence sera en français. Ce bilinguisme sera
une manière de saluer la mémoire de Manuel Belgrano, lui qui
parlait notre langue et a commencé sa carrière publique en
traduisant l’économiste François Quesnay, qui a fondé la
première école d’économie en France, la physiocratie.
Les
liens vous seront donnés au plus tard le lendemain de la mise en
ligne.
(1)
Radio Madre de Dios est une initiative de laïcs résolus à partager
leur foi à travers un outil d’aujourd’hui à la suite du pape
François. Le magistère n’est pas présent dans les instances
dirigeantes mais ce sont des catholiques et ils vivent leur foi dans
l’obéissance à leur évêque comme c’est une tradition très ancienne dans
l’Église romaine.