Comme prévu dès la fin août, Tres Mujeres para el Show continue tous les samedis d’octobre mais comme le succès de ce tour de chant qui réunit Susana Rinaldi, Amelita Baltar et Marikena Monti ne se dément pas, Clásica y Moderna a ajouté encore deux dates, les samedis 22 et 29 à 21h (c’est la dernière limite pour arriver et dîner, le spectacle commence largement plus tard et dure jusqu’à une heure du matin bien sonné). Le prix du spectacle est assez élevé (150 $ + 50 $ de consommation minimum, et il vaut mieux réserver avec quelques jours d’avance).
Las Minas del Tango Reo reviennent elles aussi, les chanteuses Lucrecia Merico et Valeria Shapira, avec leur guitariste Nacho Iruzubieta (Daniel Pérez est de retour à Clermont-Ferrand depuis la fin août, avec la flûtiste Marie Crouzeix). Ils se produiront, en vêtements fluo et cravate à écailles argentées, le mardi 26 à 21h30 (prix des places 40 $ et 20 $ de consommation minimum mais ils ne sont que 3 contre une bonne quinzaine dans Tres Mujeres para el show, et puis ils sont moins connus aussi…)
María Volonté revient aussi avec son tour de chant et son disque 9 vidas, les lundis 18 et 25 à 21h30. J’ignore le prix. Clásica y Moderna ne les affichent pas. Il faut entrer et poser la question un soir de spectacle, en début de soirée. Ne vous attendez pas à une réponse débordante de cordialité, le ton est assez froid (la nourriture pas à la hauteur de la programmation culturelle ni à la hauteur des prix sur la carte, mais on peut s’en sortir vivant sans difficulté majeure). Bref, à Clásica y Moderna, c’est la qualité du spectacle et l’originalité du décor qui priment sur le reste. Il faut faire avec.
Et bien sûr, il y a plein d’autres propositions : jazz, musique uruguayenne, bolero…
Clásica y Moderna, Callao 892, dans le sud de Recoleta.