En ce jour où les Argentins (et les Uruguayens) ont coutume de célébrer le souvenir de Carlos Gardel, décédé il y a 76 ans à Medellín, c'est surtout au grand écrivain Ernesto Sabato, disparu le 30 avril dernier, que les quotidiens rendent hommage. En effet, il aurait eu 100 ans aujourd'hui même.
Hier, un hommage académique lui a été rendu, par la Fondation qui porte son nom, à Palermo, sur une décision de sa veuve, Elvira González Fraga, qui a succédé à son mari à la tête de l'institution qu'il avait fondée après la grande catastrophe économique de décembre 2001, comme un geste de soutien à son pays.
C'est cet hommage auquel ont participé intellectuels, artistes et amis que relatent Silvina Friera, dans un long article de Página/12, qui consacre à l'écrivain la une de ses pages culturelles, et dans un article beaucoup plus bref, Susana Reinoso, dans Clarín.
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