samedi 14 novembre 2009

Lucrecia et Daniel passent par la case Gardel avant d'arriver à la Academia cette nuit [à l'affiche]

La chanteuse Lucrecia Merico et le guitariste Daniel Pérez, lors de cette Nuit des Musées à Buenos Aires, cette nuit du 14 novembre 2009, présenteront leur spectacle Tangos revisteriles (que l'on pourrait traduire "Les tangos sont de revue") à 20h30 au Museo Casa Carlos Gardel, Jean Jaurés 735 puis ce sont eux qui conclueront la nuit à la Academia Nacional del Tango, à 23h55. Les deux concerts sont bien sûr gratuits, comme toutes les activités proposées au cours de cette nuit portègne.

Par ailleurs, d'autres changements de dernière minute ont été annoncés à la Academia par Cecilia Orrillo qui s'occupe du service de presse de l'institution. C'est donc Lucrecia et Daniel qui clôturent la soirée et non plus Violentango qui a été déprogrammé (sans doute pour une question d'indisposition de quelqu'un). A sa place et en ouverture de soirée, vous pourrez applaudir, à 20h30, Alan Haksten Grupp, un ensemble instrumental típico composé de deux violons (Hernán Díaz Karich et Maria Florencia Prieto), un violoncelle (Agustín Uriburu), deux bandonéons (Natacha Moguilner et Aldana Bozzo), un piano (Juan Manuel Borjas), une contrebasse (Alejandro Aboonizio) et une guitare (Alan Haksten, qui est aussi le compositeur du groupe).
A la Academia, les concerts se succéderont de trente minutes en trente minutes, de 20h30 jusqu'à minuit. Couvre-feu à minuit et demi. Ailleurs, la manifestation se prolongera jusqu'à 2 h du matin.

Pour en savoir plus sur cette nuit : cliquez sur le mot-clé NMBSAS dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, ci-dessus ou sur le raccourci consacré à l'événement dans la rubrique Grands Rendez-vous, dans la Colonne de droite. Vous y trouverez, sous ces liens, un certain nombre d'articles sur les propositions de cette année et sur celles de l'année dernière (2008) où le programme était plus varié. L'offre culturelle gratuite se rétracte à Buenos Aires sous l'effet de la politique libérale de Mauricio Macri, qui préfère développer le business culturel rentable, et la crise économique mondiale, qui affecte l'ensemble de l'Argentine, la capitale comme le reste du pays.