La chanteuse Jacqueline Sigaut sera le vendredi 13 novembre à 20h30 à la Academia Nacional del Tango pour la présentation de son 4ème disque, Porque Quiero (parce que j'aime ça ou parce que je le veux).
Elle sera accompagnée par Hernán Reinaudo à la guitare et aura comme "invités de luxe" (l'expression est d'elle et a été reprise telle quelle par l'annonce officielle de la Academia) le chanteur Roberto Paviotti, plus connu sous son surnom de Caracol, le pianiste et compositeur Pepo Ogivieki (qui sera au piano) et Cordal Trío (un groupe de guitaristes, qui pour se baptiser a joué un peu sur le terme de cuerda, la corde, celle de l'instrument).
Attention, exceptionnellement, cette soirée est payante : entrée 20 $.
C'est tout ce que l'on fait de plus raisonnable.
Vous pouvez y aller les yeux fermés (mais les oreilles bien ouvertes).
Cela se passe au Salón de los Angelitos Horacio Ferrer, comme d'habitude. L'entrée est tantôt sur Rivadavia 830 tantôt sur Avenida de Mayo 833. Et c'est au 1er étage comme d'habitude.
Pour plus d'infos sur ce disque, vous reporter à l'article que j'ai consacré à sa toute première présentation au Torcuato Tasso au début août : Jacqueline avait alors Caracol dans la salle et Amelita Baltar sur la scène avec elle pour chanter Oblivión, dans le texte original français (1).
Vous pouvez aussi regarder l'ensemble des articles sur Jacqueline Sigaut, car cela fait un moment qu'elle parcourt Buenos Aires en présentant le contenu de ce disque, avant même sa sortie dans les bacs.
Pour avoir accès à l'ensemble de articles sur Jacqueline, il suffit de cliquer sur le nom de l'artiste dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, ci-dessus, sous le titre, ou dans la rubrique Vecinos del Barrio, dans la Colonne de droite (récemment enrichie tant dans la partie supérieure que la partie inférieure). A l'heure où je publie, vous y trouverez un raccourci au nom de Jacqueline Sigaut, de Amelita Baltar, de Caracol et de Hernán Reinaudo.
Pour le moment, Pepe Ogiviecki n'y figure pas encore mais ça viendra.
(1) Oblivión, composé par Piazzolla et écrit, en français, par Tarenzi-Simoluca, et pas directement pour Amelita Baltar ("mais je m'en moque, nous a-t-elle raconté sur scène, je ne suis pas jalouse". Inutile de vous préciser que la salle était écroulée de rire !). Oblivión a trois textes : un texte en français, un texte en espagnol et un texte en italien. Et ces trois textes n'ont strictement rien à voir l'un avec l'autre. Chacun raconte une histoire sans rapport avec les deux autres. Le même jour, Amelita Baltar sera sur scène dans Tres mujeres para el show, à Clásica y Moderna (voir mon article récent sur cette reprise d'un concert d'anthologie des années 70 à La Recoleta, avec Susana Rinaldi et Marikena Monti).