Une fois n'est pas coutume : d'ordinaire, dans une occasion aussi solennelle qu'aujourd'hui, l'élection d'un nouveau chef d'Etat au rives du Río de la Plata, je ne publie qu'un seul article. Mais ce soir, je suis coincée : demain, je ne pourrai rien publier. Donc je fais une exception à ma propre règle.
Copie d'écran du site de Culture Box France 3
Alors je suis allée regarder sur le site de Culturebox.france3. J'ai dû chercher un peu (c'est dans la section danse) mais c'était vrai. Je me suis pincée une fois, ça m'a fait mal. Je me suis frottée les yeux , j'étais toujours réveillée, donc je me suis mise à écrire cet article, non sans avoir pris la peine au préalable de remercier l'équipe de France 3 qui me fait cet honneur.
Ce reportage, que vous avez peut-être déjà vu comme moi au journal de France 3 il y a quelques jours, vous donnera une petite idée de ce que sont ces spectacles et, je l'espère, l'envie d'aller les voir au théâtre. Le 14 novembre, je terminai mon deuxième article, déjà cité plus haut, en disant qu'après Trois Tangos, j'avais quitté la salle avec l'impression de n'emporter aucune émotion particulière, alors que c'était tout l'inverse avec Tatouage, à l'issue duquel j'avais quitté le Rond-Point emplie d'une émotion qui ne s'effaçait pas. Eh bien, hier matin, je me suis fait cette réflexion que trois semaines plus tard, les images, les impressions, les sensations reçues pendant la représentation de Trois tangos me reviennent à présent autant que celles emportées de Tatouage. Comme quoi, il ne faut pas jamais se fier aux impressions immédiates.
Pour le troisième volet du triptyque, qui ne se joue que le dimanche, les réservations sont terminées, tout est vendu. Malheureusement pour nous.
Bon visionnage.
Pour voir le reportage sur culturebox.france3, cliquez sur le lien.
Pour lire mon article Alfredo Arias à El Cubo et au Théâtre du Rond-Point (avec lien à l'interview de Página/12), cliquez sur le lien.
Pour lire mon article Alfredo Arias primé par la Fondation Konex à Buenos Aires, cliquez sur le lien.
C'est avec quelque incrédulité que je viens de recevoir sur ma messagerie un mail provenant d'une personne travaillant sur le site des reportages culturels de France 3, l'une des 5 chaînes de la télévision publique française (ça fait rêver, les Argentins, ça, que nous ayons 5 chaînes de télévision publique !). Ce mail m'annonçait l'installation toute récente d'un lien vers Barrio de Tango sur le reportage que le journal de France 3 vient de consacrer au triptyque d'Alfredo Arias au Théâtre du Rond-Point, un spectacle en trois volets dont j'ai déjà parlé à deux reprises, une fois à l'occasion d'une interview que le dramaturge et comédien a donnée à Página/12 lors d'un récent séjour à Buenos Aires puis à l'occasion du prix Konex 2009 qui lui a été attribuée à Buenos Aires en ce mois de novembre.
Alors je suis allée regarder sur le site de Culturebox.france3. J'ai dû chercher un peu (c'est dans la section danse) mais c'était vrai. Je me suis pincée une fois, ça m'a fait mal. Je me suis frottée les yeux , j'étais toujours réveillée, donc je me suis mise à écrire cet article, non sans avoir pris la peine au préalable de remercier l'équipe de France 3 qui me fait cet honneur.
De votre côté, il ne vous reste plus qu'une seule chose à faire : vite, vite, vite, allez regardez ce reportage en vidéo qualité professionnelle (ça change des images bidouillée au téléphone mobile et postées vite fait bien fait sur Youtube) : vous verrez quelques extraits du spectacle (trop courts bien sûr, surtout quand on aime). Plus précisément et plus sérieusement, l'ouverture du reportage reprend quelques secondes d'un des trois intermèdes dansés de Trois tangos (en première partie de la soirée au Rond-Point, pendant la semaine) et puis on enchaîne avec quelques passages de Tatouage avec les deux personnages centraux, Miguel Maravillas et Eva del Sur. Vous entendrez aussi une courte interview d'Alfredo Arias et d'un des comédiens, filmés pendant le maquillage dans les loges.
Ce reportage, que vous avez peut-être déjà vu comme moi au journal de France 3 il y a quelques jours, vous donnera une petite idée de ce que sont ces spectacles et, je l'espère, l'envie d'aller les voir au théâtre. Le 14 novembre, je terminai mon deuxième article, déjà cité plus haut, en disant qu'après Trois Tangos, j'avais quitté la salle avec l'impression de n'emporter aucune émotion particulière, alors que c'était tout l'inverse avec Tatouage, à l'issue duquel j'avais quitté le Rond-Point emplie d'une émotion qui ne s'effaçait pas. Eh bien, hier matin, je me suis fait cette réflexion que trois semaines plus tard, les images, les impressions, les sensations reçues pendant la représentation de Trois tangos me reviennent à présent autant que celles emportées de Tatouage. Comme quoi, il ne faut pas jamais se fier aux impressions immédiates.
Alors je répète ce que je disais à la mi-novembre : allez voir ces deux spectacles tant qu'il est encore temps si vous vous trouvez à Paris, et si possible l'un derrière l'autre le même jour.
Pour le troisième volet du triptyque, qui ne se joue que le dimanche, les réservations sont terminées, tout est vendu. Malheureusement pour nous.
Bon visionnage.
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Pour lire mon article Alfredo Arias à El Cubo et au Théâtre du Rond-Point (avec lien à l'interview de Página/12), cliquez sur le lien.
Pour lire mon article Alfredo Arias primé par la Fondation Konex à Buenos Aires, cliquez sur le lien.
Pour réserver votre place au Théâtre du Rond-Point, allez sur le site du théâtre.
Dans la Colonne de droite, retrouvez aussi mes articles sur le théâtre et sur la télévision, grâce aux raccourcis idoines, dans la rubrique Tangoscope, en partie haute de la Colonne.
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