La Biyuya, vous connaissez déjà ! Je résume rapidement avant de vous expédier vers les autres articles, c’est-à-dire vers le raccourci qui porte le nom du groupe dans la rubrique Vecinos del Barrio, sur la droite de votre écran (la partie supérieure de la Colonne). Il s’agit d’un quintette très atypique (guitares, percussions, flûte et chanteuse) qui fait du tango moderne (souvent à partir des compositions de ses membres) et du tango de répertoire mais revisité dans des arrangements bien à eux. Et quand je dis tango, j’englobe bien sûr toute la famille : le tango à proprement parler, la valse et la milonga. Allez donc écouter sur leur page myspace leur version de Desencuentro ou leur Buenosairece.
La Biyuya à Mar del Plata (un jour où il ne faisait pas chaud !)
Déjà trois disques dans le commerce, dont un est épuisé (tant mieux pour eux, dommage pour nous). Un quatrième doit sortir très prochainement.
La Flor y Nata, eux, je ne vous en ai encore jamais parlé. C’est un groupe de murga, cette musique festive qui arrive à bonne température en été, pendant le Carnaval. La Flor y Nata, c’est une expression toute faite qui veut dire Le dessus du panier, la crème de la crème...
Vous pouvez aller les écouter sur leur page Myspace et sur leur site, où ils annoncent qu’ils seront le 10 juillet prochain à 21h au Teatro Verdi, rue Almirante Brown 736, dans le quartier de La Boca (entrée gratuite). Ils préparent la sortie d’un disque eux aussi.
Les deux groupes ensemble animeront donc une nuit de fête dimanche prochain, 5 juillet, à partir de 20 h, à la Porteña Social Club, Salta 135. Et l’entrée est fixée à 15 $. Ne vous en privez pas, sauf si vous avez des symptômes grippaux (dans ce cas, c’est bien dommage, mais il faut rester à la maison et ne pas transmettre vos microbes, qui sont d’ailleurs peut-être des virus, à vos voisins...).
Déjà trois disques dans le commerce, dont un est épuisé (tant mieux pour eux, dommage pour nous). Un quatrième doit sortir très prochainement.
La Flor y Nata, eux, je ne vous en ai encore jamais parlé. C’est un groupe de murga, cette musique festive qui arrive à bonne température en été, pendant le Carnaval. La Flor y Nata, c’est une expression toute faite qui veut dire Le dessus du panier, la crème de la crème...
Vous pouvez aller les écouter sur leur page Myspace et sur leur site, où ils annoncent qu’ils seront le 10 juillet prochain à 21h au Teatro Verdi, rue Almirante Brown 736, dans le quartier de La Boca (entrée gratuite). Ils préparent la sortie d’un disque eux aussi.
Les deux groupes ensemble animeront donc une nuit de fête dimanche prochain, 5 juillet, à partir de 20 h, à la Porteña Social Club, Salta 135. Et l’entrée est fixée à 15 $. Ne vous en privez pas, sauf si vous avez des symptômes grippaux (dans ce cas, c’est bien dommage, mais il faut rester à la maison et ne pas transmettre vos microbes, qui sont d’ailleurs peut-être des virus, à vos voisins...).
La veille, samedi, La Biyuya sera à Avellaneda, dans la banlieue sud de Buenos Aires, juste derrière le Puente Alsina (actuellement en travaux, lire l’article : mieux vaudra donc qu’ils empruntent un autre pont avec le mini-van un soupçon brinquebalant !). La Biyuya contribuera ainsi à fêter les 20 ans du Centro Cultural Calle Larga (Centre Culturel Grande Rue), rue Laprida 298. C’est à 20 heures et comme aucun prix n’est annoncé, on parie quoi que c’est gratuit ou a la gorra ? (pour a la gorra, consulter la Trousse lexicale d’urgence dans la Colonne de droite, partie centrale).
Le 17 juillet, le groupe se présentera à nouveau sur la scène du Palacio El Victorial à 22h, rue Piedras 720 à San Telmo (entrée à 15 $).
Actuellement, Buenos Aires, la Province et donc tout le Gran Buenos Aires s’organisent pour limiter l’extension de l’épidémie de maladies infectieuses respiratoires dont c’est le moment le plus fort (grippes et autres charmantes bronchiolites). La classe sera suspendue dans toutes les écoles à partir de lundi prochain à Buenos Aires, et ce jusqu’au 3 août. Dans la Province, c’est déjà le cas depuis hier. Mais les théâtres, les cinémas, les magasins, les restaurants, les centres culturels restent ouverts pour autant que la population se montrera responsable et que les malades accepteront de garder la chambre jusqu’à la disparition des symptômes, et ce quelque soit le nom du virus qu’ils auront attrapé. Inutile d’effrayer vos voisins par une quinte toux ou un éternuement, même si vous n’avez qu’un banal rhume ou une petite allergie : le temps que vous leur expliquiez, tous ceux qui vous entourent se seront précipités aux urgences de l’hôpital le plus proche. Gardez donc vos bonnes blagues pour les mois d’août et de septembre, quand l’Argentine sortira de l’hiver.