Le Club Europeo est un cercle managérial et patronal fondé par José María Kokubu et dont l’objectif est de faire se rencontrer et se connaître sous forme d’un réseau d’échanges et de partage d’expériences les acteurs économiques autour des relations qu’ils développent avec l’Europe.
José María Kokubu, qui n’est pas un inconnu pour les lecteurs de Barrio de Tango, est lui-même un homme d’affaires, qui dirige depuis le début de l’année l’antenne d’une institution japonaise qui forme des managers dans les pays émergents. C’est aussi un musicologue et un linguiste dont j’ai déjà eu l’occasion de vous présenter un aperçu des travaux dans un article précédent (qui traitait d’une interview conférence en anglais sur la filiation existant entre la musique européenne et singulièrement l’opéra du 18ème siècle et la genèse du tango-canción tel qu’un Pascual Contursi l’inventa en 1916). Lire l’article en cliquant sur le lien.
Le quintette Tangozando (photo diffusée par Pepe Kokubu)
Il est aussi chanteur (et quel chanteur... Là encore, reportez-vous à cette interview, vous en aurez le souffle coupé) et membre de la Academia Nacional del Tango. De temps en temps (je ne sais pas comment il fait, vu son agenda), il se produit sur scène ou tout comme, avec ses amis musiciens du groupe Tangozando (photo), à savoir : Federico Luzaco au bandonéon, Lionel Gatti à la guitare, Santiago Cainzos au violon, Pedro Ochoa à la contrebasse et Úrsula Leal Capria au piano (ce qui nous donne donc un ensemble típico + guitare).
En l’occurrence, ils se produiront donc tous les six à la milonga du Club Europeo, vendredi soir (après le travail des honorables membres), en prime time (22h), et c’est au tout début de l’avenue Corrientes (on n’est pas loin de A media luz, à 20 mètres sur votre gauche, sur le trottoir d’en face) (1), au numéro 327 et au... 21ème étage (non seulement la côte grimpe à cet endroit-là mais en plus c’est plein d’immeubles de grande hauteur !).
L’entrée est de 15$ pour les membres du Club, et de 20 pour les extérieurs.
Pour aller plus loin :
Pepe Kokubu dispose d’un raccourci à son nom dans la rubrique Vecinos del Barrio, dans la Colonne de droite. Vous allez trouver des photos de lui dans ces articles-là. Je vous laisse un peu chercher par vous-même.
Les articles concernant la danse sont rassemblés sous un raccourci à ce nom dans la rubrique Les artistes, toujours sur la droite de votre écran.
Et pour visiter virtuellement cette avenue mythique de Buenos Aires qu’est Corrientes, cliquez sur le mot-clé, ci-dessus, dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search (sous le titre).
(1) A media luz, c’est un tango. Célèbre. Qui commence par donner une adresse. D’un appartement pour rencontres et autres cinq à sept. Dans les années 20. Corrientes tres cuatro ocho (Corrientes 348). Attention à la déception si vous y allez : non seulement ça grimpe, mais l’appartement coquet en question n’a jamais existé et à cette adresse-là, il y surtout une entrée de garage à voitures... Ah, le romantisme se perd, ma bonne dame !
Il est aussi chanteur (et quel chanteur... Là encore, reportez-vous à cette interview, vous en aurez le souffle coupé) et membre de la Academia Nacional del Tango. De temps en temps (je ne sais pas comment il fait, vu son agenda), il se produit sur scène ou tout comme, avec ses amis musiciens du groupe Tangozando (photo), à savoir : Federico Luzaco au bandonéon, Lionel Gatti à la guitare, Santiago Cainzos au violon, Pedro Ochoa à la contrebasse et Úrsula Leal Capria au piano (ce qui nous donne donc un ensemble típico + guitare).
En l’occurrence, ils se produiront donc tous les six à la milonga du Club Europeo, vendredi soir (après le travail des honorables membres), en prime time (22h), et c’est au tout début de l’avenue Corrientes (on n’est pas loin de A media luz, à 20 mètres sur votre gauche, sur le trottoir d’en face) (1), au numéro 327 et au... 21ème étage (non seulement la côte grimpe à cet endroit-là mais en plus c’est plein d’immeubles de grande hauteur !).
L’entrée est de 15$ pour les membres du Club, et de 20 pour les extérieurs.
Normalement et sauf revirement trop brutal pour être raisonnablement envisageable de la part du Gouvernement de la Ville de Buenos Aires, cette réunion festive mais aussi privée (même si elle est ouverte à l’extérieur) aura bien lieu. Pour le moment, les milongas et les tertulias (ces rencontres conviviales traditionnelles autour d’une coupe ou d’un café) sont toujours autorisées. Les malades contagieux sont juste priés de s’abstenir de s’y rendre jusqu’à leur guérison
De toute façon, quand on a 38° de fièvre, on reste couché et on dort.
Pour aller plus loin :
Pepe Kokubu dispose d’un raccourci à son nom dans la rubrique Vecinos del Barrio, dans la Colonne de droite. Vous allez trouver des photos de lui dans ces articles-là. Je vous laisse un peu chercher par vous-même.
Les articles concernant la danse sont rassemblés sous un raccourci à ce nom dans la rubrique Les artistes, toujours sur la droite de votre écran.
Et pour visiter virtuellement cette avenue mythique de Buenos Aires qu’est Corrientes, cliquez sur le mot-clé, ci-dessus, dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search (sous le titre).
(1) A media luz, c’est un tango. Célèbre. Qui commence par donner une adresse. D’un appartement pour rencontres et autres cinq à sept. Dans les années 20. Corrientes tres cuatro ocho (Corrientes 348). Attention à la déception si vous y allez : non seulement ça grimpe, mais l’appartement coquet en question n’a jamais existé et à cette adresse-là, il y surtout une entrée de garage à voitures... Ah, le romantisme se perd, ma bonne dame !