La journaliste française et tanguera de ley (1) Solange Bazely vient d'ouvrir au début du mois un blog consacré au bandonéon, un instrument dont elle est depuis plusieurs années devenue une historienne particulièrement compétente. Son blog s'appelle Bandonéon sans frontière et je vous invite vivement à aller y jeter un coup d'oeil et plus si affinités... Vous y trouverez un hommage au bandonéoniste Marcos Madrigal, récemment décédé et dont la Academia Nacional del Tango rappelait le souvenir lors de son Plenario de lundi dernier (voir mon article du 12 novembre 2010 à ce propos).
Bandonéon sans frontière rejoint donc dès aujourd'hui les liens permanents de la Colonne de droite parmi les Grillons, zorzales et autres cigales de la partie basse, consacrée aux liens externes. Après tout, le bandonéon a acquis dans la culture portègne le statut d'un véritable personnage, musicien lui-même de tango bien plus qu'instrument manipulé par un instrumentiste si doué soit-il...
Rappel : Solange Bazely donnera mercredi prochain dans l'après-midi une conférence sur Tango et cinéma, à la Médiathèque de Cahors, dans le cadre du festival cinématographique Séquence Argentine.
(1) Comprendre "tanguera pure et dure". Tanguero/a : celui qui vit et qui respire le tango au plus profond de soi. A ne pas utiliser pour désigner les danseurs ou danseuses, dont très peu sont des tangueros.
(1) Comprendre "tanguera pure et dure". Tanguero/a : celui qui vit et qui respire le tango au plus profond de soi. A ne pas utiliser pour désigner les danseurs ou danseuses, dont très peu sont des tangueros.