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De 20h à 2h du matin, ce sera cinéma permanent chez Carlos Gardel et sa maman, dans cette maison devenue un musée public en hommage au grand artiste, rue Jean Jaures 735, en pleine zone de l'Abasto.
Au programme : Luces de Buenos Aires, avec une pléiades d'artistes portègnes dont el Zorzal Criollo, tourné à Paris (studios de Joinville), en 1931, El Tango en Broadway et El Día que me quieras, tous deux tournés à Broadway, respectivement en 1934 et 1935 (dans le second, Astor Piazzolla, qui avait alors 14 ans, fait une petite silhouette : apparition furtive en crieur de journaux complice des sorties nocturnes du personnage joué par Carlos Gardel).
Côté chant : on attend en particulier un concert de la chanteuse Lulú, une chanteuse arrabalera et canyengue dans toute sa splendeur, gouaille faubourienne au menu. Je n'ai jamais pu l'entendre en concert mais je l'ai entendue sur l'ordinateur de Luis Alposta qui adore cette artiste. Elle sera là à 21h et le communiqué de presse du Musée rappelle que comme Gardel, elle est née un 11 décembre, ce qui lui assurait un destin artistique tout tracé.
Il y aura également des démonstrations de danse grâce aux élèves des cours de tango dispensés gratuitement au Musée par Luis Bocchia (20h à 22h).
Entrée libre et gratuite comme tout ce qui est proposé pendant cette 7ème Noche de los Museos.