lundi 12 octobre 2009

De la transmission du tango aux générations futures [à l’affiche]

C’est le thème qu’abordera le prochain Plenario de la Academia Nacional del Tango, le premier plenario organisé après l’inscription du Tango au Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité par l’UNESCO à la fin septembre (voir mes articles sur ce thème).
Cette réunion se tiendra, comme d’habitude, dans le grand salon du 1er étage au siège de la Academia (Avenida de Mayo 833 ou Rivadavia 830), lundi 19 octobre à 19h30 (la veille, les Argentins passent à l’heure d’été, il y aura donc pendant une semaine un décalage horaire de 4 heures avec la façade atlantique européenne).

Comme pour tous les Plenarios, l’entrée est libre et gratuite (dans la limite des places disponibles, bien entendu).
Le tango rituel de la soirée sera Concierto en la luna, de et par Osmar Maderna (1918-1951) et son grand orchestre.

Avant la conférence, Horacio Ferrer remettra à deux dirigeants de l’Université du Sauveur (Universidad del Salvador), l’Université de la Compagnie de Jésus à Buenos Aires, un diplôme d’Académicien Honoris Causa, les Docteurs Juan Alejandro Tobias, qui est le recteur de l’USAL, et Juan Carlos Lucero Schmidt, qui est le doyen de la Faculté d’Histoire, de Géographie et de Tourisme de la même Université du Sauveur (1).

La conférence sera donnée par Marcela González, qui coordonne la formation musicale à la Academia Nacional del Tango. Elle parlera de la transmission du tango et des façons d’enseigner et d’apprendre la musique du tango.
Et c’est une académicienne qui enseigne au sein de l’institution qui animera l’espace artistique de la soirée, la pianiste Sonia Ursini.

Pour en savoir plus sur l’ensembles des activités proposées par la Academia Nacional del Tango, cliquez sur le mot-clé dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, ci-dessus.
Dans la Colonne de droite, vous trouverez aussi un raccourci sur les conférences (rubrique Tangoscope, dans la partie supérieur de la Colonne).
(1) Il s’agit d’un acte de réciprocité normale entre deux institutions culturelles : l’USAL vient de faire d’Horacio Ferrer un Docteur Honoris Causa (voir mon article de septembre sur ce sujet).