C’était gratuit, pendant quatre heures, dimanche après-midi, le 5 octobre, entre 15h et 19h, du côté de la esquina Figueroa Alcorta y Sarmiento, deux grosses artères qui se croisent à l’ombre des grands arbres des bois de Palermo, ce poumon vert de la capitale argentine créé de toutes pièces à la fin du 19ème siècle pour apporter à Buenos Aires une touche de Bois de Boulogne (et c’est assez réussi, malgré les énormes avenues où circule un trafic automobile furieux... et sérieusement polluant).
Une douzaine de groupes de mariachis vivant à Buenos Aires ont joué pour les passants cette musique typiquement mexicaine dans la configuration instrumentale traditionnelle : guitares, guitares basses, violons et trompettes. Cette musique et cette configuration orchestrale, nés au Mexique, ont aujourd’hui poussé leurs rejets à travers toute l’Amérique Latine, l’Argentine y compris.
A Buenos Aires, c’était le premier festival consacré à cette musique.
Une douzaine de groupes de mariachis vivant à Buenos Aires ont joué pour les passants cette musique typiquement mexicaine dans la configuration instrumentale traditionnelle : guitares, guitares basses, violons et trompettes. Cette musique et cette configuration orchestrale, nés au Mexique, ont aujourd’hui poussé leurs rejets à travers toute l’Amérique Latine, l’Argentine y compris.
A Buenos Aires, c’était le premier festival consacré à cette musique.