lundi 5 juillet 2010

Jacqueline Sigaut est l’invitée de Nazareno Altamirano pour chanter Luis Cesar Amadori [à l’affiche]

Il s’agit d’une série de soirées organisée par le musicien Nazareno Altamirano et son trio (Nacho Iruzubieta à la guitare, Felipe Traine à la guitare basse, et lui-même à la guitare et aux arrangements) pour rendre hommage aux grands auteurs de tango qui ont marqué et construit le genre.

Ce jeudi 8 juillet, à 21h30, la chanteuse invitée sera Jacqueline Sigaut et la soirée sera consacrée au répertoire de Luis Cesar Amadori, un auteur important à qui l’on doit nombre de pièces du répertoire de référence, celui de Carlos Gardel, mais qui a travaillé aussi avec de nombreux autres compositeurs et interprètes (1).

Prix des places : 25 $ (il faut décidément que je trouve le temps de mettre à jour le cours indicatif que je donne en partie médiane de la Colonne de droite, pour le peso argentin et le peso uruguayen !)

Le concert aura lieu au Café Montserrat, plus connu sous le diminutif de El Montse, San José 524, dans le quartier de Monserrat (2).

La semaine suivante, le jeudi 15 juillet, Nazareno Altamirano et ses partenaires auront pour invité le chanteur Esteban Riera, qui chantera Carlos Bahr.

Pour en savoir plus sur ces artistes, cliquez sur leur nom dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, ci-dessus. Ce clic vous permettra d’accéder à l’ensemble des articles qui leur sont consacrés dans Barrio de Tango (ce blog).

Dans la rubrique Grillons, Zorzales et autre cigales, dans la partie basse de la Colonne de droite, vous pouvez accéder au site de Jacqueline Sigaut et l’y écouter.

Vous pouvez aussi visiter le site Web du Montse...

(1) J’en ai présenté deux dans Barrio de Tango, recueil bilingue de tangos argentins, paru aux éditons du Jasmin, en mai 2010, deux tangos écrits avec Enrique Santos Discépolo : Confesión (qu’a chanté Carlos Gardel), et Alma de bandoneón, un grand classique de Discépolo.
(2) Montserrat, c’est la vieille orthographe, qui vient tout droit de Catalogne, dont une célèbre Vierge noire a donné son nom d’origine à ce vieux quartier de l’antique Buenos Aires, celle fondée en juin 1580.