Ceci n’est pas une critique de la société de consommation mais le titre d’un beau tango, bien mélodramatique et tout autant socialement engagé de Roberto Rufino et Reinaldo Yiso... Et bien de saison...
Extraits :
Al bazar de los juguetes,
cuántas veces de purrete,
me acercaba para ver.
Para ver de allí, de afuera,
desde atrás de esa vidriera
lo que nunca iba a tener.
Si mi vieja era tan pobre
Extraits :
Al bazar de los juguetes,
cuántas veces de purrete,
me acercaba para ver.
Para ver de allí, de afuera,
desde atrás de esa vidriera
lo que nunca iba a tener.
Si mi vieja era tan pobre
Combien de fois, gamin,
Du bazar aux jouets,
Je m’approchais pour voir.
Pour voir de là, de dehors,
De derrière cette vitrine,
Ce que jamais je n’allais avoir.
Ma vieille était si pauvre !
(Traduction Denise Anne Clavilier)
A écouter (1) "en la voz" de Alberto Podestá, ici en 1954 avec l'orchestre de Miguel Caló. Alberto Podestá a réenregistré plus tard ce même tango, dont il est l’un des rares interprétes, avec l’orchestre d’Alberto Di Paulo.
(1) Et à retrouver dans mon recueil bilingue Barrio de Tango, à paraître en France aux Editions du Jasmin (ajout du 24 février 2010).