lundi 2 mars 2009

Programme de Tango del Miércoles mars 2009 [à l’affiche]



Très belle affiche du CCC Floreal Gorini - la Ciudad del Tango, envoyée par Walter Alegre que je remercie (voir son blog dans la rubrique Cambalache, en Colonne de droite).
Elle se suffit à elle-même et de toute manière, les lecteurs assidus de ce blog savent très bien que je ne résisterai pas au plaisir de vous présenter plusieurs de ces spectacles. Il y a même des internautes fidèles qui ont déjà repéré le nom d’un chanteur que j’aime vraiment beaucoup. En plus, il est en train de nous concocter un de ces soirées super-géniales dont il a le secret...

Allez, on se le ré-écoute à nouveau...
Vendredi dernier, c’était son anniversaire, or on n’a pas toujours les jours 40 ans, pour paraphraser un refrain très connu (d’une chanson française dont personne ne connaît les couplets et qui ne casse pas trois pattes à un canard, voir l’article du 23 juillet sous le lien dans la rubrique Jactance & Pinta sur cette expression bien française) (1) . Je n’ai pas pu y aller, j’avais un autre anniversaire. (2) Alors, je compense mon absence...

Tous les articles (y compris celui-ci) sur la programmation de la Ciudad del Tango en cliquant sur le lien CCC dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, entre le titre et l’article.
L’activité sur la Avenida Corrientes en cliquant sur le lien Corrientes.
Les autres activités du Centro Cultural de la Cooperación, sur le lien disponible dans la partie inférieure de la Colonne de droite, rubrique Cambalache (casi ordenado).

(1) Dans le même sens, on peut dire aussi "qui ne casse pas des briques". Et pour s’émerveiller devant l’affiche du CCC (cliquez dessus pour la voir en résolution originale), on peut s’exclamer qu’elle nous en "fait baver de la colle !" ("La boca se nos queda dibujando una O de asombro"). C’est un détail de Perdida en la Ciudad, un tableau dont la signature est malheureusement illisible. Je vais m’enquérir de cet artiste auprès de qui de droit.
(2) En plus, c’est vrai. Ce n’est pas une blague. C’est même l’unique valable raison pour laquelle je n’étais pas à El Faro vendredi soir.