jeudi 16 avril 2009

El Reyunte à Rosario [à l’affiche]

Affiche TyCP

Pour célébrer les 100 numéros qu’elle a déjà sortis, la revue TyCP (Tango y Cultura Popular), de la ville de Rosario, dans la Province de Sante Fe, au nord de Buenos Aires, a invité au Club Nueva Aurora, rue Suipacha 2175, à Rosario, l’orchestre juvénile de tango El reyunte, de la ville de Adrogué, dans le district Almirante Brown, dans le sud du Gran Buenos Aires.
El Reyunte, ce sont 12 musiciens, deux chanteurs et un couple de danseurs, tous adolescents, tous amateurs. Tous ensemble, ils parcourent le pays. Ils ont donné plus de 70 représentations au cours de l’année 2008.

L’espace tango qui a été créé au sein du Club Nueva Aurora à Rosario l’a été à l’initiative des gens de TyCP. Dans ce lieu, ils ont mis en place des cours de tango (danse). Et c’est dans le cadre de ce travail de développement du tango dans ce lieu qu’ils organisent le vendredi 24 avril à 22h la venue de ces jeunes artistes.

Le prix de la soirée n’est pas encore fixé mais on sait qu’il sera modéré et qu’il comprendra une restauration légère sous forme d’un buffet (en français dans le texte).

Le revue TyCP se présente sous forme d’un blog où chaque numéro est mis en ligne et accessible gratuitement. Il s’agit bien sûr d’une revue entièrement rédigée en espagnol mais sa richesse de contenu (articles de fond, letras de tango d’hier et aujourd’hui, analyses historiques...) devrait vous inciter à vous mettre dare-dare à cette langue, si vous ne la connaissez pas déjà. D’ailleurs, elle n’est pas si éloignée de la nôtre que cela ! Voici le lien au blog (un site blogspot). Vous y trouverez actuellement (16 avril 2009) le numéro 102 daté du 2 de ce mois. Vous pouvez également remonter dans les archives dans leur colonne de gauche.

Quant à El Reyunte, ils disposent de leur page My space où vous pouvez aller les écouter... Les voici également sur You Tube interprétant Oro y Plata de Charlo et Homero Manzi, lors d’un concert donné au Salon de thé Peumayén à Adrogué (la prise de vue n'est pas professionnelle, loin de là. On ne voit pratiquement rien, mais le public est très participatif, dans la bonne tradition argentine, et c’est là l’essentiel).