Capture d'écran recadrée de la page d'entrée du site du chanteur
Ariel Ardit, qui vient de se détacher de l’orchestre El Arranque pour se lancer dans une carrière de soliste, sort en ce moment son second disque personnel : Ni más ni menos, qui comporte 13 pistes, réalisé sous la direction musicale de Andrés Linetsky, pianiste et compositeur, lui aussi très récent "ancien" de El Arranque. Pour la promotion du CD, le chanteur, natif de Córdoba, une ville qui a donné pas mal de très bons artistes au tango argentin, va et vient dans divers shows selon la technique artisanale de diffusion dont les lecteurs fidèles de ce blog sont maintenant bien familiers...
Les 13 pistes de Ni más ni menos sont constituées de morceaux rares, loin des choix habituels : un tango de Pedro Laurenz (Es mejor pardonar), Motivo de vals de Horacio Salgan (le Maestro préféré des Arranquiens), La abandoné y no sabía de José Canet et Pero yo se de Azucena Maizani, chanteuse et compositrice grande ami de Carlos Gardel, pour qui elle composa plusieurs tangos. Ni más ni menos est édité par Alfiz Producciones.
Dans son précédent album, Doble A (du nom d’un modèle de bandonéon de la maison Alfred Arnold, voir mon article sur La gestion durable des bandonéons), il chantait quelques titres un tout petit peu plus fréquents : Asi es Ninon de Juan Laurenza et Marsilio Robles, Después (un grand classique de Hugo Gutierrez et Homero Manzi), No place (un tango turfique de Barquina, personnage haut en couleurs de la Buenos Aires des années 30 et 40, dont il faudra un jour que vous parle Barrio de Tango), Ausencia (de Alberto Castellano et Mario César Gomilla) et Que me quiten el bailao (de Miguel Bucino). Ce CD de 12 pistes est édité par Acqua Records.
Les deux sont actuellement disponibles sur le marché.
Ariel Ardit sera le 29 avril à 19h à l’Auditorium de Radio Nacional Argentina (Maipu 555, à Buenos Aires). Comme toujours, les concerts des radios publiques sont gratuits (dans la limite des places disponibles selon la formule consacrée, "localidades limitadas" dit-on à Buenos Aires).
Vous pouvez découvrir sa voix et son style sur son site (attention, la musique se déclenche dès le chargement de la page initiale. Le contrôle du volume se fait dans la petite fenêtre en bas à droite). Vous pouvez écouter en streaming ces deux disques de soliste (ça c’est de la promo !) et une ou deux plages des autres disques à l’enregistrement desquels il a participé, avec Rodolfo Mederos, avec El Arranque, avec Vale Tango, avec Ramiro Gallo (un autre désormais "ancien" de El Arranque).
Ariel Ardit, qui vient de se détacher de l’orchestre El Arranque pour se lancer dans une carrière de soliste, sort en ce moment son second disque personnel : Ni más ni menos, qui comporte 13 pistes, réalisé sous la direction musicale de Andrés Linetsky, pianiste et compositeur, lui aussi très récent "ancien" de El Arranque. Pour la promotion du CD, le chanteur, natif de Córdoba, une ville qui a donné pas mal de très bons artistes au tango argentin, va et vient dans divers shows selon la technique artisanale de diffusion dont les lecteurs fidèles de ce blog sont maintenant bien familiers...
Les 13 pistes de Ni más ni menos sont constituées de morceaux rares, loin des choix habituels : un tango de Pedro Laurenz (Es mejor pardonar), Motivo de vals de Horacio Salgan (le Maestro préféré des Arranquiens), La abandoné y no sabía de José Canet et Pero yo se de Azucena Maizani, chanteuse et compositrice grande ami de Carlos Gardel, pour qui elle composa plusieurs tangos. Ni más ni menos est édité par Alfiz Producciones.
Dans son précédent album, Doble A (du nom d’un modèle de bandonéon de la maison Alfred Arnold, voir mon article sur La gestion durable des bandonéons), il chantait quelques titres un tout petit peu plus fréquents : Asi es Ninon de Juan Laurenza et Marsilio Robles, Después (un grand classique de Hugo Gutierrez et Homero Manzi), No place (un tango turfique de Barquina, personnage haut en couleurs de la Buenos Aires des années 30 et 40, dont il faudra un jour que vous parle Barrio de Tango), Ausencia (de Alberto Castellano et Mario César Gomilla) et Que me quiten el bailao (de Miguel Bucino). Ce CD de 12 pistes est édité par Acqua Records.
Les deux sont actuellement disponibles sur le marché.
Ariel Ardit sera le 29 avril à 19h à l’Auditorium de Radio Nacional Argentina (Maipu 555, à Buenos Aires). Comme toujours, les concerts des radios publiques sont gratuits (dans la limite des places disponibles selon la formule consacrée, "localidades limitadas" dit-on à Buenos Aires).
Vous pouvez découvrir sa voix et son style sur son site (attention, la musique se déclenche dès le chargement de la page initiale. Le contrôle du volume se fait dans la petite fenêtre en bas à droite). Vous pouvez écouter en streaming ces deux disques de soliste (ça c’est de la promo !) et une ou deux plages des autres disques à l’enregistrement desquels il a participé, avec Rodolfo Mederos, avec El Arranque, avec Vale Tango, avec Ramiro Gallo (un autre désormais "ancien" de El Arranque).