Au Torcuato, on ne fait pas qu'écouter de la musique et applaudir. On peut dîner aussi...
Voilà l'un de ces articles que mon emploi du temps et la nature de l'actualité depuis mon retour d'Argentine ne m'avaient pas permis de publier encore dans Mes Chroniques de Buenos Aires : le retour en images sur la soirée à laquelle m'avait invitée l'ami Juan Vattuone au Centro Cultural Torcuato Tasso le mercredi 25 août 2010 (voir mon article du 26 août 2010, décalage horaire oblige), le jour où j'ai appris que le Conseil d'Administration de la Academia Nacional del Tango venait de me décerner le titre d'Académicienne correspondante à Paris (voir mon autre retour sur images sur la séance académique du 2 septembre 2010).
Le Quinteto Angel Pulice y Ruth de Vicenzo au complet
(vous reconnaissez même Carolina Cajal, à la contrebasse, dans le fond)
Los Hermanos Butaca, sans couvre-chef et avec leur pianiste titulaire
Ce soir-là, sur la scène du 1575 de la rue Defensa, à San Telmo, il y avait le Quinteto Angel Pulice y Ruth de Vicenzo, suivi des Hermanos Butaca (à l'humour un rien potache et parfois d'un franc mauvais goût), eux-mêmes suivi de l'auteur-compositeur-interprète Juan Vattuone, accompagné de son vieux compère, compagnon de toute une carrière musicale, Victor Lasear à la guitare et de Gustavo Corrado au piano.
Et maintenant les mêmes Hermanos Butaca avec leur couvre-chef carnavalesque de scène et un invité au piano
Une soirée inoubliable, passée à la même table que Lucio Arce et un autre ami, au cours de laquelle nous avons été servis par une jeune Française, visiblement en séjour d'étude et qui n'avait pas repéré ma francitude (bon point pour moi, et toc !), une soirée qui s'est éternisée dans les conversations après le spectacle... Comme souvent à Buenos Aires. Il est vrai que les nuits d'hiver sont longues là-bas aussi.
Juan Vattuone, en vedette américaine...
Une soirée inoubliable, passée à la même table que Lucio Arce et un autre ami, au cours de laquelle nous avons été servis par une jeune Française, visiblement en séjour d'étude et qui n'avait pas repéré ma francitude (bon point pour moi, et toc !), une soirée qui s'est éternisée dans les conversations après le spectacle... Comme souvent à Buenos Aires. Il est vrai que les nuits d'hiver sont longues là-bas aussi.
Juan Vattuone, le "blouson rouge" du tango underground